1. Un voisin en colère


    Datte: 14/01/2021, Catégories: f, fh, hplusag, fagée, extracon, voisins, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, ecriv_f,

    ... choix. Je ne sais pas si tous les chauves sont comme ça, mais celui-là est monté comme un âne et poilu comme un ours. Comble de bonheur, son odeur est beaucoup plus excitante que celle de mon mari. Je l’avale donc avec plaisir, je le pompe avec passion. Dire que c’est seulement la troisième fois, en trente ans, que je trompe mon mari. La dernière fois c’était à un mariage, j’étais un peu pompette et je m’étais laissée entraîner dans une chambre par un des oncles du marié. C’était à l’époque où notre couple commençait à battre de l’aile et j’y avais pris vraiment beaucoup de plaisir. Et puis la première fois, c’était dans un camping, une erreur de jeunesse, avec un jeune Allemand. Mais mon mari, amoureux à cette époque là, n’en avait jamais rien su. Je me souviens que nous faisions ça, l’après-midi, dans les douches, quand les autres étaient à la plage. Je devais être folle car, à l’époque, j’étais enceinte d’Aurélie, de plus de six mois. Etait-ce à cause de ma grossesse ? Mais je me sentais insatiable et je n’avais trouvé que ce jeune Allemand pour calmer mes ardeurs. Et maintenant me voici avec ce voisin, un voisin plus vieux que moi, mais un voisin qui est fort bien monté et dont la dureté est irréprochable. Qu’importe qu’il soit chauve, après tout ! J’ai envie qu’il me baise ! J’écarte les cuisses, il vient en moi. Il est fort, viril, puissant. J’aime ça, j’aime le voir en moi, j’aime ses mouvements puissants et son regard lubrique. Il lime en ahanant. Il s’arrête juste ...
    ... une seconde, me massacre les bouts de tétons. Il les étire, il les pince, je laisse échapper un cri. — Tourne-toi, ma belle cochonne. Demande sans appel. Je me mets à quatre pattes sur le canapé. Il vient derrière moi. Claques bruyantes sur mes fesses. — T’as vraiment un beau cul, qui donne vraiment envie ! Apparemment très satisfait de la marchandise ! Il me tient par les hanches, il me baise avec violence, son bassin claque sur mes fesses à chaque coup de reins. Le flic-flac fait un bruit d’enfer. Ca, plus les grincements du canapé, plus ses grognements derrière mon dos, plus mes gémissements de satisfaction… Des années qu’on ne m’a pas fait l’amour ainsi, par-derrière, dans le salon… C’est trop bon ! Il se déchaîne sur moi, il se déchaîne sur mes fesses, il claque mes cuisses. Je suis à bout, je jouis de tant d’ardeur. Pourtant il continue, il s’acharne sur mon fessier. — Qu’est-ce que t’es bonne à baiser, toi ! » Je jouis encore, c’est un athlète. Il n’en peut plus, il sort enfin de moi… Il vient se finir sur mon visage. Il se branle comme un fou et il m’en met un peu partout, en particulier dans les cheveux. Il jute à gros bouillons une quantité impressionnante de sperme. Je reprends mes esprits, je n’en reviens pas. Ce n’est pas moi qui viens de faire tout ça, avec cet homme que je n’aime pas et que je connais à peine. Je sens son jus qui coule sur ma figure. Il s’est effondré sur moi. Il est lourd, il m’écrase. Je m’aperçois tout d’un coup que je ne connais même pas son ...