1. Pierre, notre voyeur 2


    Datte: 15/01/2021, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... aurait été une sorte de figure de grand frère durant mon enfance. Je sais que Sophie posera peu de questions à ce sujet. Ma situation familiale avec mes parents est très compliquée et elle ne s’étonnera pas que je ne lui aie jamais parlé de Pierre.Nous nous séparons donc en nous donnant rendez-vous pour samedi. Je retourne à mon travail, heureux de porter un jean qui retient mon érection et convaincu que Pierre doit être dans le même état que moi.De retour chez moi, j’annonce à ma femme l’invitation de Pierre. Je lui raconte ma petite histoire. Elle est contente pour moi et m’annonce à son tour que dans la journée elle avait appelé sa mère pour lui faire garder une fois de plus notre fils. Je me retiens de trop sourire. Je n’ai pas besoin de trouver d’arguments pour l’éloigner, ce qui aurait suscité la curiosité de ma femme. Nous serons donc libres de faire tout ce que nous voulons ce soir-là. Absolument tout.Dès cet instant, je décide de frustrer sexuellement Sophie. Pas de fellation matinale avec sa ration de sperme ni de parties de jambes en l’air le soir. Sophie s’étonne de mon comportement et je lui réponds que c’est pour nous offrir un dimanche matin torride grâce à cette accumulation de frustration. La vraie raison est que je veux avoir les couilles pleines et que Sophie soit dans une sorte de manque et donc plus ouverte d’esprit.L’attente jusqu’au samedi me paraît interminable. Je brûle de savoir ce que nous allons pouvoir faire avec Pierre, ce que Sophie sera prête à ...
    ... accepter, jusqu’où elle osera aller. Pour faire honneur à notre hôte, à ce « grand frère » enfin retrouvé, Sophie s’est mise aux fourneaux dès le début d’après-midi pour être prête. Elle nous a mitonné un repas de roi.Il est dix-neuf heures, je suis seul dans le salon à faire les cent pas. Sophie est à l’étage et se prépare, Pierre est attendu dans une demi-heure. Quand elle descend me rejoindre, je reste un moment pantois. Sophie est absolument magnifique, à damner un saint. Elle a mis élégamment son visage en valeur avec un léger maquillage, ses cheveux sont attachés en queue-de-cheval, mais le plus magnifique de tout est la robe noire de soirée qu’elle s’était achetée pendant notre sortie shopping. Celle-ci dessine parfaitement sa silhouette et met en valeur ses seins et ses fesses.— Ça ne fait pas trop habillé ?— Non, dis-je avant de me reprendre, traversé par une idée délicieusement perverse. Attends, je change juste un détail.Je me rapproche d’elle, la regarde droit dans les yeux avant de m’agenouiller. Je pose mes mains sur ses chevilles et les fais remonter jusqu’en haut de ses jambes sous les yeux sans cesse plus écarquillés de Sophie. J’arrive enfin à mon objectif. Je me saisis de sa culotte que je descends jusqu’en bas avant de lui retirer et de la ranger dans ma poche.— Mais tu es fou. Que va dire ton ami ?— Il ne va rien dire du tout, car il ne verra rien. On ne voit absolument pas la différence, nous serons les seuls à savoir que le seul tissu que tu portes est ...
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