Mutine
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
fh,
grosseins,
fépilée,
telnet,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
confession,
coupfoudr,
internet,
... fille ! Petit à petit, nous montons en puissance : Mutine dévoile de plus en plus intimement ses secrets. Sa fente délicate n’a plus de secret pour les visiteurs, son bouton rose non plus, qu’elle taquine même parfois du bout de ses doigts souvent vernis de rouge, très évocateurs. Ses rondes fesses et son entrée des artistes font les délices des voyeurs qui salivent devant ses formes et surtout cet endroit sombre et si étroitement tentant… — Voilà la prochaine livraison pour ton blog. Tu en penses quoi ?— Oh là là, mais on ne peut pas publier des photos pareilles ! Je suis totalement indécente là-dessus.— Parfait ! Ta réaction montre que nous allons toucher juste ! Puis tout s’enchaîne. Et se déchaîne ! Un jour, les internautes découvrent que Mutine peut réellement accueillir un sexe dans sa bouche aux lèvres si charnues. Beaucoup alors imaginent être à ma place, certains me jalousent, et pas qu’un peu, il n’y a qu’à voir certains messages. Parfois, je me suis un peu inquiété, mais heureusement il n’y a aucun moyen de remonter jusqu’à nous, j’y veille sérieusement en scrutant chaque photo avant de poster. Les premières photos de fellation furent très bien accueillies, d’autant qu’il est évident que Mutine y prend goût, c’est flagrant sur les photos, même en censurant son visage. La photo où elle arbore des lèvres luisantes de sperme créa, à l’époque, un véritable déluge de commentaires et de notations. J’en fus le premier étonné. Maintenant, avec le recul, je comprends ...
... mieux… Le phare n’éclaire pas son pied… Mutine adore les sucettes, le pouvoir qu’elle a sur le sexe d’homme, de le rendre dur, qu’il gonfle, les frémissements de la tige, les veines qui palpitent sous sa langue, le gland pourpre, jusqu’à l’explosion finale, ce dessert qu’elle déguste sans retenue… J’aime le goût de la pine, j’aime d’ailleurs ce mot un peu vulgaire. Cette sueur un peu âcre, cette chose qui grandit dans ma bouche, cette moiteur sous ma langue, la tension de cette queue qui se contient à grand peine, puis cette liqueur salée qui coule en moi, une juste récompense de mes bons et loyaux services et sévices. Les photos de Lutin montrent bien ce que je ressens. Souvent, à mes heures perdues, je les regarde, je me souviens de chaque étape qui me mène vers la crème blanche, du moindre détail auquel je soumets ce membre au départ un peu flasque, jusqu’à ce qu’il devienne de bronze et qu’il explose ! J’adore ça… Pas que ça… — Tu n’en montres pas trop, Doudou ?— Comment ça ? Tu es si désirable ! Et puis, il n’y a pas si longtemps, tu disais que des photos "moins pires" que celles-ci étaient indécentes.— Ce n’est pas une raison ! C’est notre vie privée quand même ! Les autres photos dévoilent à tous mes autres turpitudes sexuelles, mes envies, mes penchants, mes soumissions. J’aime me faire lécher, qu’une langue glisse le long de mes contours, puis enrobe mon clitoris exacerbé. Mais, hélas, peu de photos, car parait-il, c’est dur à photographier sans l’aide d’une tierce ...