1. Christine III : Les brûlures de l'aube (2)


    Datte: 16/01/2021, Catégories: Hétéro

    Quand je reviens de la salle de bains, Christine n’a pas bougé. Je m’allonge à côté d’elle et l’embrasse. Longuement, profondément. Christine dit : — Après la soirée chez moi à la fin de l’année scolaire, celle du premier porte-jarretelles, j’avais pris une décision. J’étais vierge, j’avais été à deux doigts d’être sodomisée et franchement, j’ai longtemps regretté de ne pas l’avoir fait. Je ne savais pas si je te reverrai mais j’avais décidé que tu serais le premier et pour cela, j’avais décidé d’attendre dix ans. — Quoi ?! — Je voulais que tu sois le premier à me sodomiser et j’avais décidé de le refuser aux autres durant dix ans. En réalité, je n’ai attendu que cinq ans et je n’ai refusé que Laurent. Nous nous embrassons à nouveau et je dégrafe sa guêpière. Christine retire ses bas. Nous sommes nus, enlacés, c’est sublime. Il est près de 21h, nous n’avons pas mangé et nous n’avons pas vraiment envie de sortir. Nous décidons de commander une pizza. En attendant, à la cuisine, pari avec Christine : elle lance le dé; si le chiffre est pair, elle devra aller ouvrir en soutien-gorge et string; s’il est impair, elle choisira sa tenue. Quatre. Christine rougit, rit, dit qu’elle ne pourra pas. Je l’embrasse, lui dis qu’elle est belle. Elle : — Je vais devoir me tourner pour poser les pizzas, prendre le porte-monnaie. — Tu as des fesses magnifiques. — Non, j’ai un gros cul. — Arrête. Il est musclé, rond et ferme. Tu as un très beau cul. Sonnerie. Le livreur. Christine retire son ...
    ... peignoir, mets ses talons, souffle pour se donner du courage et va ouvrir. Le livreur est une livreuse. Grand sourire quand elle aperçoit Christine. Échange pizzas-argent. Elle encaisse et va s’en aller quand j’entends : — Vous êtes très belle, je suis jalouse. Christine referme la porte et se tourne, rouge comme une pivoine. J’éclate de rire. Je dis à Christine que je n’ai pas envie qu’elle remette son peignoir et j’enlève le mien. Nous mangeons en papotant. Nous rangeons rapidement et poursuivons la soirée dans le canapé, entre échanges, câlins, baisers et rires. Plus tard, Christine me suce, longuement. Puis nous allons dans la chambre et faisons l’amour tendrement. La nuit est calme, douce et agréable. Christine ne quitte pas mes bras. Samedi matin, je suis réveillé par une sensation de succion sur mon sexe : la fellation de Christine est le plus doux des réveils. Remarquant mon éveil, elle vient à califourchon sur moi et s’empale sur ma verge. Tandis qu’elle va-et-vient sur mon chibre, elle dit : — Le réveil de Monsieur est-il agréable ? — Il est parfait, ma chère. — Cette petite gâterie matinale vous a-t-elle plu ? — Votre bouche est divinement douce et habile. — Y a-t-il quelques chose qui vous ferait plaisir ce matin ? Je réfléchis, j’ai envie de la surprendre. — J’ai envie de jouir, là, sur ce charmant petit nez et ces joues constellés de tâches de rousseurs, sur ce doux visage. Christine sourit. — Monsieur est coquin ce matin. Accentuant ses mouvements de rein, ...
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