1. Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 2)


    Datte: 25/10/2017, Catégories: Anal Gay Partouze / Groupe

    ... délectation. Je me retirai du blondinet, me levai et fit quelques pas en examinant les gars autour de moi. J'avais bien l'intention de profiter au max de ces bougres et des valets qui venaient de se joindre aux invités. Les arômes de bouffe avaient laissé place à l'odeur du sexe, aux parfums des corps en sueur qui nous excitaient au point de se faire planter par n'importe qui. Seuls Denis et Sylvain ne participaient pas à cette orgie mais je n'étais point surpris car ce couple avait comme point d'honneur de ne jamais se mêler aux invités. Je portai mon regard sur mon bel arabe qui, la queue bien plantée dans le cul de mon valet, me souriait comme pour m'inviter à les rejoindre. Non, je désirais d'autres corps, d'autres verges pour me déboiter le panier. Il y avait un bout que je ne m'étais pas senti aussi salope, aussi chienne et j'allais me faire monter par autant de mecs que je désirais. Je regardai la table sur laquelle les victuailles trônaient et, l'idée me vint. Je m'en approchai et m'y couchai sur le ventre pour y glisser mon corps sur la bouffe. J'empoignai une bouteille de crème fouettée et, le cul bien élevé, je le garni de sorte à faire comprendre aux gars que je ne refuserais rien de leur part. Je n'eu pas à attende bien longtemps qu'une langue se glisse entre mes fesses et une autre entre mes lèvres. Déjà, la table se voyait entourée de bêtes, leurs mains se promenant partout sur moi, y déposant des fraises, framboises, kiwis qu'ils écrasaient, léchant le jus ...
    ... dégoulinant. On me tartinait de crème, de chocolat, faisant couler du sirop d'érable. J'étais un buffet déconseillé pour les diabétiques mais parfait pour les dents sucrées. Certains m'avaient rejoint sur la table et nos corps s'entremêlaient les uns aux autres pendant que la crème fouettée jaillissait de partout et que nos bouches remplies de fruits ou de chocolat s'embrassaient sans savoir exactement quelle langue on bouffait. Quel gaieté que tout ce brouhaha et quel volupté lorsque je sentis mon cul se remplir à nouveau. Oui, oui, oui… Une queue, une bonne grosse queue dans mon popotin qui allait et venait à répétition juste avant de juter, laissant sa place à une autre et une autre et une autre. Mon baba, bourré de yaourt, en demandait toujours plus, incapable de tout retenir ce foutre qui coulait de mon troufignon. Les mecs se succédaient, sachant qu'ils avaient accès à mon trou de balle pour jouir et ils étaient tellement excités que parfois, ils me garnissaient après seulement quelques coups bien brusques. En fin de compte, je vivais ce fantasme de me faire baiser par tous les invités. Et comme toute chose à une fin, j'entendis Denis nous signaler qu'il était temps de retourner au manoir. C'est alors que quelques gars crièrent qu'ils n'avaient eu le temps de me défoncer la boîte mais Denis resta ferme sur sa position. Il fallait nous rhabiller car les carrioles nous attendaient avec les chevaux. C'est alors qu'un mec s'empressa de se coucher sur moi pour m'enfoncer sa ...
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