"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II (1)
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Eva se redressa et cria aux hommes : « À vous les gars, baisez-moi ma copine et donnez-lui du plaisir ! » Aussitôt les trois hommes montèrent sur la grande table de pierre et entourèrent Cécile fiévreusement, ils lui caressèrent les seins, le sexe, les hanches. Le vieux caressait avec avidité son gros ventre de femme enceinte. Ils étaient fous de désir, de concupiscence à caresser la femme d’un autre ; femme enceinte de surcroît, avec ses seins énormes aux pointes distendues, le sexe aux grosses lèvres, inondé de cyprine. Le tabou à faire exploser : faire d’une honnête femme issue de la petite bourgeoisie, une femme enceinte, qui porte la vie, qui devrait se conformer aux règles de bienséance de la société, une femme délurée, nymphomane, impudique, exhibitionniste ! Une Putain ! Baiser, partouzer une femme enceinte, ils en avaient toujours rêvé, et là, l’occasion : un couple plein de frustrations sexuelles, les conjoints qui se disputent, le défi de la femme humiliée publiquement par son mari. Un mari sympathique, plein de candeur qui offre sa femme enceinte à des inconnus ripailleurs et obscènes ! Elle s’offrait à eux, sans pudeur, sans retenue, prise dans une furie sexuelle démentielle ! Cécile ahanait de plaisir sous les caresses de tous ces hommes en rut. C’était la première fois qu’elle allait s’offrir à tant d’hommes en même temps. Après la séance saphique avec Eva, son vagin demandait plus de sexe encore… Elle avait envie de sentir des bites bien dures la pénétrer ...
... dans le sexe, le cul, la bouche. Elle allait pouvoir assouvir le merveilleux fantasme qu’elle s’était construit depuis toutes ces années, alors que Paul son petit mari n’arrivait pas à la satisfaire complètement et à lui donner le plaisir qu’elle méritait. Elle allait pouvoir combler le terrible appétit sexuel que lui provoquaient ses hormones de grossesse, et, cerise sur le gâteau, elle savait que son mari, tel un voyeur lubrique, la regardait avec délectation subir tous ces délicieux assauts. S’il avait bien suivi ses instructions, il la filmait, enregistrait toutes ses perversités sexuelles, ainsi dévoilées à la face du monde. Que pensait-il du spectacle ? « Oh ! Mon Dieu Paul, j’espère que tu crève de jalousie, à voir ta petite femme se faire prendre par tous les trous avec délectation ! Tu as vu comme j’ai baisé Eva, comment on s’est brouté le minou ? Tu en aurais rêvé d’être là, à coté de nous ! Et là je vais prendre ces trois bites bien dures, je vais les sucer comme jamais je ne t’ai sucé, toi ! Et puis ils vont me défoncer cul et chatte… mmmhuuumm ! Tu vas voir de quoi elle est capable la Cécile frigide, l’étoile de mer, espèce de salaud ! » pensait-elle, en silence… Était -il affolé, désemparé, horrifié par la dépravation de sa chère épouse si prude ? Etait-il excité, bandant comme un malade, se régalant de la déchéance publique et sexuelle de sa femme ? Se branlait-il comme un possédé, espérait-il que les « racailles » allaient la conduire vers des sommets de ...