La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°927)
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fraichement arrivés au Château. Car aucunes des femelles qui avaient abondement joui comme moi n’avaient laissé échapper le moindre son malgré le puissant orgasme qui nous avait traversé pour chacune d’entre nous.… Il est bon de rappeler le bon vouloir des esclaves, que le Marquis n’a jamais forcé personne à devenir des animaux mais c’était l’instinct primitif, ce désir puissant d’être traité ainsi, d’être des esclaves qui avaient provoqué ce qu’ils étaient devenus. Le Noble était simplement celui qui leur permettait de vivre cet avilissement total qu’ils avaient tous souhaité. C’est pour cela qu’ils vouaient tous un véritable culte au Maître vénéré… Et effectivement, plus je vivais à fond ma soumission à Ses pieds, plus je me sentais chienne, plus mes instincts primaires, primitifs refaisaient surface. Sans honte, sans peur, me sachant écoutée et comprise, sans jamais être jugée. Je souhaitais de tout coeur que ces futurs chiens de l'Enclos puissent découvrir ce que le lâcher-prise total pouvait leur apporter dans leur soumission. Mais je savais par expérience que cela pouvait prendre du temps, et ils avaient une chance incroyable que Monsieur le Marquis daigne les accepter comme résidents permanents au Château ! - Je ne vous avais pas précisé le silence absolu pour cette fois, les chiens. Je serais indulgent pour ce jour de fête. Mais sachez qu'en toute circonstance, même pour les cadeaux, vous n'êtes jamais autorisés à émettre le moindre son, sauf autorisation express ! ...
... Les chiennes, heureusement pour vous, vous êtes restées silencieuses, comme on vous a appris après maintes leçons pour obtenir votre silence le plus complet. Au vu de votre ancienneté, je n'aurai pas toléré un manquement à cette règle fondamentale ! Ayant tous vécus un moment très fort, et ayant reçu l'autorisation du Majordome d'un quart d'heure de repos, tous nous étions unis par le même sentiment de bonheur assouvis et par un même besoin de chaleur animale. Alors nous nous rejoignîmes contre le mur du fond tous à quatre pattes et nous nous lovions les uns contre les autres telle une réelle meute. Nous profitions tous de ce moment de sérénité à huit, de notre chaleur corporelle partagée. Nous aurions presque pu nous endormir tellement nous étions bien, si ce n'était que nous savions que Walter n'allait pas tarder à nous rappeler. chienchien, qui était contre moi, dans mon dos, m'entoura de ses bras, comme pour me remercier silencieusement. - Debout les chiens ! intima le Majordome en faisant claquer un fouet dans l'air. Il est temps de vous faire visiter la salle de dressage. chienne Marion MDE, tu viens avec nous. S'ils ont à nouveau besoin de se vider les couilles, tu serviras à quelque chose, sinon tu suis en silence, comme d'habitude ! Nous laissions donc là les trois autres soumises qui se resserrèrent pour prolonger le bien-être post orgasmique. Arrivés dans la salle de dressage, les quatre chiens ouvrirent grands les yeux d'émerveillement. Et très vite leurs queues se ...