1. J’ai pas l’habitude de passer des soir


    Datte: 18/01/2021, Catégories: Anal Gay Inceste / Tabou

    Les jours suivants, et les semaines suivantes, Brendan s’est appliqué à m’éviter.Il devait absolument sauvegarder son image d’ hétéro séducteur, de mec à filles.Il refusait de s’afficher avec moi, prétextant des devoirs, ou des courses à faire avec sa mère, je pense qu’il devait avoir peur que tout le bahut découvre notre relation et qu’on pense qu’il est gay.Pourtant j’ai tout fait pour provoquer de nouvelles rencontres, toute notre bande lui a proposé à plusieurs reprises de nous rejoindre, de trainer avec nous, mais rien à faire.J’aurai tout donné pour revivre la même chose, au moins une autre fois.Mais rien de rien. J’étais assez déçu par son attitude, voire blessé. Mais qu’importe, la vie continue.Quand j’y repense, quelle chienne j étais ce soir là .... moi qui suis d’un naturel timide, si je ne l’avais pas vécu, je ne l’aurai jamais cru.Je me contentais de me branler tous les soirs, dans mon lit, sous les draps, en me repassant cette soirée de ouf, en revoyant son frère et puis son père. J’imaginais qu’ils débarquaient dans ma chambre pour me violer, ou pour m’enlever. J’imaginais des plans dans la cave de mon HLM, près du local à poubelles, dans le petit square derrière la cité. Je leur servais de trou, de vide-couilles, ils organisaient des tournantes bien chaudes- bien crades, ils appelaient les grands, tous ceux qui dealent pour se défouler sur moi, j’étais devenu le centre de leurs attentions. Dans mon imagination, tout le monde avait gouté à mon trou, y compris ...
    ... le facteur qui venait apporter un colis pour ma mère !Autant vous dire que mes slips étaient bien bien inondés de foutre. J’adorai me branler et je laissais sécher mon jus jusqu’au petit matin.Ma meilleure branlette c’était un soir qui avait suivit un entraiment. On était tous de retour aux vestiaires mais je tardais à me déshabiller. Une fois toute la classe partie se doucher, je suis resté seul quelques secondes – ce qui m’a suffit pour tirer une des chaussettes de Brendan. Je l’ai planquée précieusement dans mon sac et j’ai rejoint les autres pour prendre ma douche - comme si de rien n’était. Arrivé chez mes parents, je me suis précipité dans les chiottes, j’ai d’abord senti sa chaussette qui avait encore son odeur – je me suis caressé avec puis je l’ai enfilé direct sur ma bite. Je bandais comme un fou. J’ai adoré la sensation de ce tissu souillé, rêche que je frottais sur mon jeune gland doux et lisse dans d’inlassables vas-et-viens. J’ai trop pris mon pied mon pote ! C’était trop trop bon. Je me suis branlé plusieurs fois dedans, puis je la cachais pour une autre fois. (Je l’ai encore d’ailleurs).Bref, on a repris nos habitudes avec ma bande de potes : le Mac Do, le centre commercial, le supermarché, le Flunch, le KFC... bref, la routine quoi. C’était cool.Plusieurs mois passèrent.Vers la fin du mois de Juin, juste avant les vacances d’été, on avait prévu de se retrouver comme d’hab avec la bande pour une dernière virée avant d’être séparés : Grégoire devait aller chez ...
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