1. Une voisine sans gêne


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, Oral 69, pénétratio, fsodo, amourdura,

    ... vite m’embrasser, Martin.— Je peux aller à l’ordinateur ? Mets-moi celui comme l’autre fois.— Nous n’avons pas beaucoup de temps, il faut aller avec tata, lui dit sa mère.— Oh, un peu maman ! Guy a d’abord embrassé la mère, puis a amené l’enfant dans sa chambre devant l’écran et lui a lancé le jeu. Quand il est revenu, Vanessa était assise, pensive dans un fauteuil. Elle n’était pas venue depuis quelques temps. Guy craignait qu’elle regrette peut être de s’être confiée l’autre jour. — Comment vas-tu, il y a longtemps que je ne t’avais pas vue.— Oui et aujourd’hui je viens car Chloé veut amener le petit voir le dernier dessin animé. Je ne serais pas entré si Martin n’avait pas frappé, je n’ai pas pu le retenir.— Pourquoi ? Tu as peur de moi ?— Non. Mais je regrette de t’avoir parlé. D’un autre côté, cela m’a soulagé. Surtout j’ai ajouté des commentaires que je regrette, tu vas me prendre pour une salope qui veut se dévergonder. Mais, en tout cas, je ne pourrai jamais plus vivre avec un homme.— Mais tu pourrais trouver un homme qui te donnerait du plaisir, tout en restant libre.— Difficile de trouver un tel amant, il faut que lui aussi soit libre. Dans ce cas, il risque de s’attacher et j’ai trop souffert avec le premier.— Comme tu veux. Enfin tu peux revenir quand tu veux, j’aime bien Martin, il est très gentil.— Je m’en vais, ma sœur l’attend. J’irai faire un tour le temps de la séance, ça me changera les idées.— Si tu veux revenir me voir, je suis là tout l’après-midi. Il a ...
    ... fallu la promesse d’aller voir le dessin animé pour que Martin se décide à quitter l’ordinateur. Guy les a vus partir avec regret. Un brouhaha sur le palier, Guy entend le petit et les deux sœurs dévaler l’escalier. Tant pis, Vanessa préfère aller se promener. Il va en profiter pour défragmenter son ordinateur. Un bref coup de sonnette le tire de devant son écran. Vanessa est là, à la porte, un peu gênée. — Entre, si tu savais comme ça me fait plaisir d’avoir de la compagnie, et surtout la tienne.— Tu dis ça pour excuser le fait que je te dérange.— Je voudrais bien être dérangé tous les jours par une femme aussi belle que toi. Et crois-moi, nous ne nous ennuierions pas. Je t’offre quelque chose à boire ?— Si tu veux, sans alcool. Non je me promenais sans but, je me suis rappelé ton invitation, j’en ai profité. Tu es quelqu’un qui m’écoute sans avoir pour autant des pensées… libidineuses.— Je t’écoute volontiers, mais en ce qui concerne les pensées, je regrette de te dire qu’elles sont nettement érotiques.— Mais tu es un ami, tu es presque de la famille !— Mais si j’étais ton amant, je serais encore plus de la famille. Quand je te vois, j’ai une envie folle de t’embrasser, de te faire l’amour. Mais jusqu’à présent, il y avait toujours un importun, ou bien je n’avais pas le temps de te séduire. Tu cherches quelqu’un de libre, qui ne s’attachera pas à toi, qui te laisseras dès que tu le lui diras : je suis celui que tu cherches.— Mais, Guy, tu n’y penses pas !— Oui, tu es comme ...
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