Une voisine sans gêne
Datte: 18/01/2021,
Catégories:
fh,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
amourdura,
... Quand cela lui convenait, et exclusivement pour faire l’amour. Guy acceptait ces exigences, il avait beaucoup de plaisir, mais comprenait qu’elle ne tenait pas particulièrement à lui, elle aimait simplement baiser. Par contre lui aimerait bien qu’elle reste un peu plus longtemps, elle lui manque. Depuis plusieurs semaines, elle ne s’était pas manifestée. Noël approche et il aimerait, si c’était possible, passer quelques jours avec elle. Enfin, un soir le téléphone a sonné : — Guy, je ne viendrai plus. Je te remercie pour tout le plaisir que tu m’as donné. Mais c’est fini. Ne cherche pas à me revoir. Adieu. Il n’a pas eu le temps de placer une parole, elle avait raccroché. Elle a du trouver un nouveau partenaire qui lui convient mieux que moi. Je ne la reverrai plus, mais je ne l’oublierai pas se dit-il. Il a tout de même un petit pincement au cœur, il ressentait un très grand attachement comme il n’en avait jamais connu, était prêt à lui proposer de s’installer avec lui. C’était peut-être de l’amour. Mais elle avait bien précisé, dès le départ, qu’elle voulait rester libre. Un jour, Chloé est venue le voir. Elle lui a annoncé qu’elle déménageait chez son copain. Elle voulait le remercier de sa gentillesse, elle ne l’oublierait jamais. Dans le couloir en orthopédie, à l’hôpital, deux femmes sont immobiles au milieu du couloir, gênant le personnel soignant. Un employé poussant un chariot les évite de justesse. — Que faites-vous là ? Les visites sont interdites le matin. ...
... Revenez ce soir.— Nous cherchons mademoiselle Beauregard, elle a eu un accident hier et on nous a dit qu’elle était dans ce service.— Venez, je vous amène au surveillant. Il les conduit devant un bureau dans lequel un homme travaille sur ordinateur. — Pardon monsieur, nous voudrions savoir dans quelle chambre se trouve mademoiselle Beauregard— Chambre 173, mais on doit lui faire des soins, revenez… L’homme s’est arrêté de parler, le regard interrogatif. — Pardon, vous n’êtes pas…— Guy, oui, c’est bien moi, Vanessa. Il est à la fois surpris et enchanté. Cela fait vingt ans qu’ils ne se sont pas revus, mais elle est toujours aussi belle. Ils échangent quelques paroles. Guy leur explique qu’il est très occupé, qu’il n’a pas beaucoup de temps. Mais il aimerait bien pouvoir la retrouver dans un endroit et à un moment plus tranquilles. — Que fais-tu samedi ? lui demande-t-elle.— Je travaille et finis mon service à quatorze heures.— Tu serais libre si je t’invitais ?— Oui, toujours célibataire.— Eh bien je t’attendrai, tu viendras à la maison prendre l’apéritif. Les deux femmes sont parties voir leur collègue. Cette visite l’a surpris. Il n’avait plus eu l’occasion de la revoir et s’aperçoit qu’il la désire toujours, qu’il regrette qu’elle soit partie. Il regrette depuis de ne pas lui avoir proposé de vivre ensemble. Le samedi elle est venue l’attendre dans le service. — J’ai ma voiture, je t’attends à la sortie de l’hôpital, tu me suivras avec la tienne.— D’accord, mais signale-toi, que ...