1. Sea, sex and sun : Vacances torride (1)


    Datte: 18/01/2021, Catégories: Hétéro

    ... maximum. Un véritable comble pour moi ! — T’es en vacances dans le coin ? Moi je suis là pour tout l’été, un contrat saisonnier, tu vois le truc ? Ses mains douces et expertes continuent de parcourir mon corps avec habileté, me poussant à me détendre presque malgré moi. Je perçois son souffle chaud dans mon cou, il se penche à mon oreille pour murmurer d’une voix suave : — Tu as des seins magnifiques. Si je ne me retenais pas… Hypnotisée par ses paroles et ses gestes, j’esquisse un sourire. Séduite et excitée par ce franc-parler. Je finis tout de même par lui répondre, bien décidée cette fois à prendre les devants et entrer dans son jeu de séduction, consciente que la suite ne sera pas de prendre un simple verre à la terrasse d’un café. — Alors Mick, tu finis ton service à quelle heure ? — Il est déjà fini ma belle. Aimerais-tu visiter le poste de secours, avant que je le ferme ? — Visiter ? Vraiment ? dis-je en prenant ma voix la plus chaude possible. Je sens nettement un frisson le parcourir. Un point pour moi. Excitation à égalité. Balle au centre. Je sais maintenant ce que je veux, je sais ce qu’il veut, j’enfonce le clou pour prendre l’avantage : — J’espère que l’endroit est désert, car j’ai des idées bien plus intéressantes qu’une simple visite. Il se lève alors, presque bondissant comme un ressort, m’aidant à rassembler mes affaires, comme s’il avait peur que je change d’avis. C’est bien mal me connaitre. Et à la vue de cette légère bosse naissante dans son petit ...
    ... short rouge, je devine clairement son empressement. Autant vous dire tout de suite, à ce moment précis, j’en oublie complétement mon copain, mes vacances. Seule bout en moi l’envie de ce mec. Je ne vois que lui. Tout du moins, je ne vois qu’un prétexte pour assouvir une envie folle. Et si ce prétexte n’est autre que le fantasme absolu masculin, alors je fonce, sans retenue, déjà tout émoustillée et brulante de désir. Je ne vais pas plus loin dans ma réflexion, je finis de ramasser mes affaires, lui en homme galant, me porte mon sac. Je ne prends même pas le temps de me rhabiller. Mes fringues sous le bras, je suis Mick, traversant la plage, jusqu’au cabanon servant de poste de secours. Il me laisse franchir le seuil du poste, avant de refermer la porte dans mon dos. Il se tourne, me regarde, ses yeux me dévorent littéralement. Il sourit : — Toi, je sens que tu es une petite coquine. — Tu n’as pas idée, me suis-je alors mise à penser ! Et sans lui laisser le temps de réagir je me colle à lui, l’embrassant avec une fougue intense, nos corps brulants seulement séparés par le simple tissu de mon maillot. Ma main se pose enfin sur ce torse tant convoité. Du bout des doigts je pars à la découverte de ce corps, dessinant les contours de ses abdos, sentant sa peau chaude comme le sable, m’enivrant de son odeur aux épices solaires. Lentement mes doigts glissent jusqu’à l’élastique de son short, que j’écarte suffisamment pour laisser mon autre main s’engouffrer et se plaquer contre la ...
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