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Pique nique en gorges profondes
Datte: 19/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe
Quand j'étais étudiant à Montpellier, il y a de ça dix ans. J’avais pris l'habitude aux beaux jours, d'aller avec celle que j'aimais à l'époque, dans les gorges de l'Hérault, près du pont du diable. Pour nager dans le fleuve et faire l'amour sur les berges, à l'abri des regards ...notre emploi du temps universitaire nous permettait de nous évader sur la côte ou dans les terres quand tout le monde était au travail ou en cours...la Bella vità... nous avions déjà expérimenté les joies du naturisme sur une plage du Gros du Roi, mais le lieu était trop fréquenté, soit par les sempiternels rôdeurs des plages nudistes. Hommes entre deux âges, attirés de loin par la silhouette avantageuse de ma petite amie, une jolie algérienne à la cambrure chevaline et aux seins fermes. Soit par de plus honnêtes couples ou familles naturistes qui pouvaient légitimement s'offusquer du spectacle de mon sexe gonflé et tendu par les caresses discrètes de ma compagne... Nous avions donc repéré un endroit idéal dans les méandres de l'Hérault sous les frondaisons. Lieu peu fréquenté en dehors des weekends et des congés d'été.... du moins c'est ce que nous pensions en cette fin de matinée un mardi ou mercredi matin de l'été 2007. Je me souviens du sous-bois à flanc de route que nous avions trouvé donnant directement sur la rivière ; de notre piquenique préparé la veille ; de nos maillots de bain pendant sur une branche basse ; de notre insouciance sereine ; de nos corps nus le mien si blanc contrastant ...
... avec sa peau brune. Je me souviens surtout d'elle à quatre pattes sur ma serviette de bain, m'invitant à la chevaucher d'une moue suggestive, balançant ses hanches de gauche à droite, cambrant ses fesses avec une facilité déconcertante pour me révéler la conque de sa vulve, logée au creux de ses cuisses et de ses fesses charnues. Je me souviens de mon empressement à la pénétrer. Bref rien que nous n'avions déjà fait maintes fois, là ou ailleurs. Quand sur la petite plage de galets qui nous faisait face et que nous pensions déserte, une femme âgée d’une cinquantaine d’années s'avança dans l'eau. Elle était nue elle aussi et ses affaires étaient posées sur le sol derrière elle. Elle semblait sortie de nulle part. Nous nous ne l'avions ni vu ni entendu venir. Nous sommes restés interdits, incapable de réagir. Mon sexe encore profondément planté dans la croupe de ma compagne... il était clair qu'elle nous avait vu. Mais elle ne semblait ni surprise ni gênée. Nous étions tellement pris au dépourvu, que nous n'avons pas bougé, figés et silencieux, complétement ahuris. Nous avons finalement ri convulsivement, comme deux benêts. Imperturbable, elle nous salua d'un fort accent nord européen. Elle nous pria de ne surtout pas nous arrêter à cause d'elle. Elle continua en affirmant que nous étions jeunes et beaux et que nous avions raison de faire l'amour à cet endroit. Que c'était une belle chose à faire dans un bel endroit. Puis elle est entrée dans l'eau et s'est éloignée tranquillement ...