Juste pour essayer
Datte: 20/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
fépilée,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fsodo,
... que Pascal ne l’a pas embrassée ainsi, Florence redécouvre des sensations oubliées. Sa main se pose sur son genou, remonte le long de la cuisse par-dessus le collant lentement presque jusqu’à la culotte, elle retient son bras. Pourtant elle a envie qu’il la touche, il n’insiste pas. Il démarre, ils roulent en silence, il rattrape la rocade, il prend la première sortie, ce n’est pas la route, elle ne proteste pas. UnFirst hôtel est sur la gauche, il tourne et se gare. Florence a compris, après tout pourquoi pas, juste une fois pour essayer, cela arrive bien à d’autres, ce sera son secret, pour une fois depuis bien longtemps elle fait quelque chose pour elle seule. Sans un mot, elle descend, il pose sa main sur son épaule, il l’entraîne vers l’intérieur. Avec sa carte bleue, ils accèdent à une chambre, Florence trouve ça assez sordide. Il la prend dans ses bras, l’embrasse de nouveau, il fouille encore sa bouche. Il ôte son pull, elle se retrouve avec son soutien-gorge blanc en satin, il l’embrasse dans le cou. Il se recule, la regarde, il défait son pantalon, elle voit la bosse de son sexe qui déforme le slip. — Suce-moi… Elle est surprise, jamais Pascal n’aurait été si direct, pourtant cela ne lui déplaît pas. Elle se met à genoux, elle descend le sous-vêtement. Sa queue apparaît, elle est plutôt courte mais très épaisse. Il la prend dans sa main et la présente devant sa bouche, elle sort sa langue, elle lèche le gland avec application, cela l’excite, elle sent sa culotte de ...
... plus en plus humide. Elle le prend en bouche et le pompe délicatement, son souffle est fort, il semble apprécier : — Oui, tu me suces bien… Il la fait se relever : — Déshabille-toi, je veux te voir. Elle ôte sa jupe, son soutien-gorge libérant les deux seins, elle enlève ses collants, puis sa culotte dévoilant sa toison brune assez abondante. Il la regarde sans discrétion en se caressant, elle se sent gauche ainsi nue devant lui puis : — Tu ne t’épiles pas la chatte ? Florence qui s’épilait elle-même le minimum, pour le maillot l’été, est interloquée : — Eh non.— Pour la prochaine fois, tu te feras faire le ticket de métro très fin, c’est ce que je préfère, dit Gérard. Florence, qui n’avait encore jamais pensé à une prochaine fois : — Mais mon mari…— Tu lui diras que tu as fait ça pour essayer, de toute façon il ne s’en plaindra sûrement pas, fit Gérard. Florence avale sa salive : — Oui. Elle, la femme pleine d’assurance, elle se laisse traiter par cet homme comme sa chose et cela ne lui déplaît pas… Gérard : — Tourne-toi. Elle sent ses yeux sur ses fesses, puis ses mains qui malaxent la chair un peu molle : — Il me plait bien ton cul, tu sais. Tu as envie que je te prenne ?— Oui prends-moi.— Dis-moi que tu vas être ma femme. Florence ne comprend pas trop : — Comment ça ?— Oui, que tu vas être ma femme toutes les semaines, chaque fois que j’en aurais envie. Florence ne répond pas, mal à l’aise. Gérard arrête ses caresses. — Dis-le-moi chérie. Florence lâche alors : — Oui je ...