1. Microscope


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, inconnu, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, voiture,

    ... puisse voir son visage quand elle le sucera. On le devine, ce rendez-vous n’est pas une douce romance, ici rien de domestique, aucune règle n’est écrite et les participants sont joueurs. Le projet est intense et sans fioritures. Elle est prête. L’impact à venir est presque concret maintenant. Elle sent les mouvements de l’air, le son imperceptible de son sang qui bat ses tempes et son ventre. La porte, le couloir, l’ascenseur. La température est constante, et un léger sifflement électrique occupe l’arrière-plan. Les sons électroniques ponctuent ses gestes, passage des étages, les uns à la suite des autres, on descend, sans fin. Ce moment de chute est emblématique de la situation. C’est une coïncidence entre les choses et leur signification. Le monde s’exprime parfois. Ralentis, amortis, on se pose dans un chuintement qui dirait : « Vas-y… Vas-y… », les portes s’écartent, l’air s’engouffre, un souffle chaud. Une odeur de carburant et de gaz d’échappement, lourdeur de plomb : c’est le parking du sixième sous-sol. L’espace est sombre et humide, une caverne. Elle s’avance dans la nuit, sans hésitation, droit devant. Quand son corps disparaît dans l’obscurité, elle se retourne. Les lumières de la porte et de l’ascenseur sont comme des phares perdus dans la tempête, au loin. Dans la nuit, elle devine les mouvements des véhicules aux étages supérieurs, les crissements de pneus, les portes qui claquent, mais ici, c’est le calme, et bientôt la volupté. Elle perçoit à sa droite, en ...
    ... avant, l’ouverture d’une portière : une invitation. Elle s’approche et devine le véhicule. Lui est là, debout, comme prêt à la conduire quelque part. Est-ce utile de parler ? Tout a été dit, avant. Elle se place du côté passager, découvre ses jambes pour pénétrer l’habitacle et s’enfonce dans le siège, tournée légèrement vers lui, les cuisses à nu. Elle se penche vers l’arrière, abaisse le siège, les bras lui tombent le long du corps. Elle ferme les yeux. Les portes restent ouvertes, l’air du parking est pénétrant, étouffant. Les sons lointains et étranges lui traversent l’échine. Elle perçoit parfaitement les mouvements de l’homme qui s’approche. L’image électronique qu’elle avait de lui était charmante, mais là, il s’agit d’un corps bien réel, d’une masse tendue par le désir sexuel. Il s’est placé à l’arrière et son visage est tout près du sien. Elle sent sa respiration dans la courbe de son cou, juste sous l’oreille. Les baisers établissent un contact instantané avec son ventre, son sexe. Elle écarte légèrement les jambes, sa respiration se mêle d’un gémissement. La langue de l’homme court sur sa peau, pénètre sa bouche. Elle remonte la main vers ses cuisses et la dépose sur son sexe. Elle appuie doucement, formant des ondes, comme des cercles délicats à la surface de l’eau. L’homme poursuit ses baisers et attrape ses seins à travers la robe. Il écarte le tissu et les empoigne avec force. Les sous-vêtements sont oubliés, les seins jaillissent. Elle poursuit son mouvement ...