L'héritier de Protée (7)
Datte: 21/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... cuvette. Il me pénètre aussitôt et entame des mouvements rapides du bassin. Il me viole ! Et j’aime ça ! Je ne peux m’empêcher de gémir, mais il me met soudain la main devant la bouche tout en continuant à me baiser, car des personnes viennent de pénétrer dans les toilettes. Horrible supplice ! Éprouver un plaisir intense sans pouvoir l’exprimer, c’est du sadisme ! Et c’est bien ce que cherche Alex. Heureusement pour moi, son excitation est trop forte. Je le sens se raidir et se vider en moi, sans le moindre cri. Je jouis instantanément de même, me mordant la main pour ne pas manifester mon bonheur. C’est épouvantable ! — A tout de suite il se rajuste et sort tranquillement. Je m’assoie sur le siège autant pour reprendre mon souffle que pour... éliminer l’excèdent. Oh la vache, il m’a mis la dose... Et maintenant, vite, vite, vite ! De la valise, je sors une petite robe légère, un tanga et un soutien-gorge. Çà suffira, il fait bien assez chaud comme ça. On est début Juillet, et j’ai du mal à réaliser que ma vie a soudainement basculé il y a à peine une dizaine de jours. Je m’habille et sort de la cabine. Vite, vite, vite ! Je me donne un coup de brosse, un petit coup de rouge à lèvre et un poil de ricil... le tout sous le regard amusé ou étonné de quelques hommes présents dans les toilettes ! — Dites mademoiselle, vous êtes dans les toilettes des hommes ici, fait l’un d’eux l’air irrité. Je toise l’insolent. Il a perdu une belle occasion de se taire. — Mais je suis un homme ! ...
... Mais si vous voulez, je peux me comporter en femme. Ça vous dirait une petite pipe ? L’homme est pris de court. Il ne sait plus quoi penser. C’est quoi cette blonde ? Une trans, une écervelée... ou une professionnelle ? Il arbore une mine mi- gênée, mi- tentée. — Ben... euh, au fond oui, pourquoi pas ? Je m’approche de lui presque à le toucher et lui tâte sèchement son service trois pièces à travers le pantalon. — Ah désolée, lui dis-je, je ne travaille pas en dessous de dix centimètres. Et empoignant ma valise, je sors des toilettes en plantant là le type médusé. — SALOPE ! Je rejoins Alex mort de rire. Il n’a rien perdu de l’échange. — Christine, t’es vraiment dingue ! dit-il en riant. Je rougis, je suis presque gênée. — Tu as raison. Je ne me reconnais pas lorsque je redeviens Christine. Je ne suis pas comme çà normalement. Qu’est-ce qui m’arrive ? — Je crois que c’est parce que tu occupes une copie de quelqu’un d’existant. Si tu avais rajeuni et féminisé Jacques Gautier, ton caractère serait intégralement le tien. Mais là, ton esprit cohabite avec la physiologie de ton modèle. Donc ton caractère est la synthèse de ces deux aspects. Mais rassure toi, j’adore comme tu es. Et malgré tout, tu restes fondamentalement toi-même. Il reprend sa valise et nous nous dirigeons vers la sortie. — Mais je dois dire que ton modèle mériterait à être connu ! — Salaud ! Mais... je lui fais une crise de jalousie ??? A partir d’ici, notez que la plupart des dialogues se font en grec. Mais je ...