1. Le journal intime


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, amour, pénétratio, jeu, champagne, fouetfesse, journal, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... sandwich, mais elle n’est pas là. Le soir venu je pars plus tôt du travail pour l’attendre à la sortie de son travail. Quelle n’est pas ma surprise de la voir à environ 100 mètres de son studio en pleine discussion avec un homme. Je m’approche un peu, la rue est presque déserte. Arrivé à quelques mètres je commence à les entendre, la voix de l’homme est très grave et je le reconnais, car je l’ai déjà vu en photo sur son journal ; c’est Fred son amant. — Non Marie, on ne me quitte pas comme ça !— Je ne veux plus te voir, espèce de goujat.— Tu te rends compte de ce que tu fais ? dit-il en lui prenant le bras et en commençant à la secouer.— Lâche-moi, Fred je ne veux plus te voir ! Tout d’un coup, je vois sa main partir, il lui file une grande gifle, lui prend le bras et essaye de l’entraîner avec lui. Ils ne m’ont pas vu. Une pulsion s’empare de moi et sans réfléchir je m’interpose. — Pardon, mais je crois que madame ne veut pas vous suivre et vous ne pouvez pas la forcer.— Mais qui t’es toi, occupe-toi de tes oignons !— On ne frappe pas une femme. Il me regarde et fonce sur moi en me repoussant, je le repousse brutalement moi aussi avec les deux mains, puis je lui file un coup de tète à la Zidane ! Il vacille un moment la main sur le visage et m’attrape brutalement par le col de ma chemise. — Mais quel connard ! me dit-il en me filant un coup de poing dans le nez. Je tombe par terre en me tenant la mâchoire et je reçois encore deux coups pieds dans les côtes qui me coupent le ...
    ... souffle. — Casse-toi Fred, j’appelle la police, à l’aide ! se met-elle à crier puis à hurler. Heureusement, il fait demi-tour et disparaît de mon champ de vision. J’ai très mal, je me tiens les côtes. Elle se penche vers moi, mon regard se tourne vers ses longues jambes pliées puis vers sa belle figure où des larmes dégoulinent en entrainant son mascara qui laisse de grandes traces sous ses yeux bleus gonflés. Je me retourne, nous sommes toujours seuls, la rue est toujours déserte, un peu étrange à cette heure. Il faut dire que ce n’est pas toujours le courage qui caractérise les passants quand il se passe quelque chose. — Monsieur, je suis désolée, je vous remercie, j’appelle la police, il vous faut une ambulance.— Non, surtout pas, ce n’est rien ; réfléchissez, nous allons devoir remplir des papiers, déposer, c’est compliqué tout ça, je n’ai rien, ne vous en faites pas. Si vous voulez le dénoncer ? Moi non !— Vous avez raison, vous êtes sûr ? Ça va ?— Oui, oui, ce n’est rien, c’est pour vous que je m’inquiète, il va revenir ?— Non, je ne crois pas ! Elle m’aide à me relever et me soutient, je tiens difficilement sur mes jambes et mon nez saigne abondamment. Je sens son souffle sur ma nuque. — Vraiment, il faut aller à l’hôpital.— Non mademoiselle, ne vous en faites pas je vous assure, rentrez chez vous et fermez votre porte à clef !— Je m’appelle Marie et je ne sais pas comment vous remercier.— Moi, c’est Laurent.— J’habite à côté, venez chez moi je vais vous soigner.— Non, ...
«1234...9»