1. Le journal intime


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, amour, pénétratio, jeu, champagne, fouetfesse, journal, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... mais quelle classe ! Il faut que je fasse attention, il ne faut pas que j’exagère ! Je sens l’opportunité et je l’invite à diner. Ce qu’elle accepte volontiers. Je passe la soirée à la regarder, elle a très peu de maquillage, ses cheveux blonds coupés au carré bougent librement en mesure avec les mouvements de sa tête. La bouteille de vin a fait rosir son visage et ses rares taches de rousseur n’en ressortent que plus. Ses yeux bleu foncés sont deux pépites qui roulent au rythme de ses expressions. Je suis amoureux fou ! À la fin du repas je lui propose d’appeler un taxi pour rentrer chez elle. Même si elle semble un peu surprise, elle accepte. En attendant sur le trottoir je lui demande : — Marie vous avez mon numéro, mais moi je n’ai pas le vôtre ! Elle fouille dans son sac et me tend une carte de visite en me souriant. Voyant le taxi arriver, elle se penche vers moi, m’embrasse sur la joue et me dit : — Tu es mon sauveur Laurent ! C’est à ton tour de m’appeler maintenant. Puis elle s’engouffre dans la voiture et disparaît, me laissant dans la nuit sur le trottoir, interdit, immobile, songeur. *************************** Le Lendemain j’ai décidé d’attendre un peu avant de la rappeler. Ma timidité m’interdit d’être trop entreprenant, mais je ne fais que penser à elle ; de plus, demain c’est samedi. L’après-midi, n’en pouvant plus de temporiser, je compose son numéro pour la troisième fois et mon pouce s’arrête au-dessus de la touche « envoyez ». Je ferme les yeux et appuie ...
    ... ! — Allo Marie, c’est Laurent !— Enfin c’est toi ! Tu as mon adresse, viens me rejoindre chez moi, le code d’entrée est RSTUW.— Maintenant ?— Je pars maintenant, j’ai des RTT… Rappelle-toi : RSTUW.— J’arrive ! J’attrape ma serviette, fais signe à ma collègue que je pars et disparais dans l’ascenseur. Vingt minutes plus tard, je monte les escaliers de son immeuble, à chaque étage je m’arrête pour vérifier les noms, cinquième étage : DUBOIS Marie. Je sonne ! La porte s’ouvre presque immédiatement. Sans un mot elle attrape ma cravate et me tire vers elle pour m’embrasser sur la bouche. Je laisse tomber ma serviette par terre, avec mon pied je ferme la porte d’entrée et la prends dans bras en appuyant mon baiser. Sa bouche s’ouvre tandis que ma langue s’enroule déjà autour de la sienne. Encore aujourd’hui, elle est vêtue d’une courte jupe et d’un chemisier blanc, sans doute ne s’est-elle pas encore changée en rentrant du travail. Tout en m’embrassant elle m’entraîne vers un grand canapé où je m’écroule sur elle. Je n’ai pas quitté sa bouche et un peu de salive mouille nos mentons, ma main commence à s’insinuer sous sa jupe étroite, mais j’ai beaucoup de mal. — Attends, attends, dit-elle en se levant devant moi. Je m’assois sur le divan, elle dégrafe sa jupe avec mon aide, puis la fait glisser par terre, elle ne porte pas de collant ou de bas, il faut dire que ce mois de septembre est plus que clément. Je découvre une petite culotte en dentelle couleur chair, mais je n’ai pas le ...
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