Le journal intime - Histoires de Sexe

Le journal intime

... veut faire durer le suspens tandis qu’elle prend des poses de plus en plus impudiques. — Marie viens, j’en peux plus ! Tu es une allumeuse maintenant !— Eh oui je suis un peu salope non ? Je mérite peut-être une punition !— Une fessée. Je me surprends moi-même à évoquer cette pratique, ses confessions érotiques hantent mon esprit. À ma grande stupéfaction elle me dit : — Attrape-moi si tu peux ! Je l’emprisonne dans mes bras et la porte jusqu’au divan où je m’assois. Je l’allonge sur mes genoux et attache ses deux poignets avec ma main gauche dans le dos, tandis qu’avec la droite je lui donne une première claque sur les fesses. Elle se débat mollement avec tout son corps et je n’ai pas beaucoup de mal à la tenir immobile. Je baisse sa culotte sur ses cuisses, découvrant son postérieur au galbe parfait déjà rouge et lui administre une fessée. Marie cesse de se débattre, puis la dernière tape se transforme en caresse, ma main s’égare entre ses fesses où je constate qu’elle est déjà abondamment mouillée. Elle se dégage de mes genoux, enlève sa culotte et m’invite à m’allonger sur le divan, puis m’enjambe et s’empale d’un seul coup sur mon sexe tendu par le désir. Pendant qu’elle me chevauche je peux enfin caresser, soupeser ses seins, titiller ses mamelons roses sombres, ce qui procure à Marie un intense plaisir. Quelques minutes plus tard un violant orgasme nous secoue. Elle s’écroule sur moi et colle sa tête dans mon cou, la fatigue et le champagne aidant, nous nous ...

... endormons presque immédiatement. *************************** Six mois plus tard, nous avons prévu de nous marier, Marie habite presque à temps plein chez moi, même si elle n’a pas encore abandonné son appartement. Demain, nous recevrons ses parents et elle est très préoccupée car, selon ses dires, ils ne sont pas faciles. Elle est en train de préparer la chambre d’amis où nous avons prévu de les loger pour le week-end, car ils habitent à Rouen. Je l’entends ouvrir les placards. — Laurent ! J’ai trouvé des cartons avec tes photos je peux les regarder ? Merde, merde, c’est la catastrophe : son journal se trouve dans une de ces boites. Je l’avais complètement oublié, celui-là. J’entre en courant dans la chambre et la découvre assise sur le lit, la boite à chaussure explosive sur les genoux. Je me précipite sur elle et la lui arrache carrément des mains. — Je veux te les faire voir moi, les photos !— J’ai compris, ce sont les photos de tes anciennes copines à poil ! Fais voir.— Mais non, de toutes les façons c’était avant toi. Je plonge la main dans la boite et retire une poignée de photos que je fais tomber sur le lit, pendant qu’elle les récupère, je rattrape le journal, le fait tomber par terre et le glisse sous le lit avec le pied. — Tu vois bien que ce ne sont que des photos de moi petit avec mes parents.— Mais tu étais mignon… Pour la distraire et malgré la panique qui noue mon ventre je commence à l’embrasser et nous faisons l’amour au milieu des photos éparpillées. Plus tard, je ...