1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... soupir accompagne son éjaculation. Lui n’a pas mis de capote et il doit inonder le cul de son amant. Sa femelle a des attitudes de femme alors qu’il ondule pour mieux capter le jus de son mec. Quelques minutes et nous nous libérons. Ils semblent heureux de ma prestation. Pourtant je n’ai pas fait grand-chose. C’est eux qui ont tout fait et pour un peu c’est moi qui devrais payer pour le spectacle et le plaisir. Ils sont mignons, ces deux hommes qui se câlinent, échangeant un geste affectueux, un baiser. Et puis le vieux s’étonne de voir son amant encore en érection. Ils se parlent. Ils se tournent vers moi. Quoi, ils veulent recommencer ? — Vous faites la sodomie ? C’est bien cela ils veulent recommencer. La sodomie ! Mais oui, je la pratique enfin je la pratiquais avec mon mari. Il avait mis du temps pour me convaincre, mais à force de caresses et progressivement il était passé, du doigt, à deux et puis un gode très fin pour finir avec sa bite. Ce n’était pas ma tasse de thé, mais cela lui faisait tellement plaisir que je m’étais habituée. Mais là, on parlait de cet homme et sa bite de paysan. — Oui ! Non ! Enfin pas souvent.— C’est pour mon ami. Il a envie de vous, de cette façon. Jamais il n’a demandé cela. Je ne comprends pas. Son ami lui parle tendrement. Le vieux paraît rassuré, peut-être croyait-il que son jeune amant veuille le quitter. — S’il vous plaît. Je peux vous donner encore 100 €. Vous voulez combien ? Je vous promets, il sera très doux. Et je vous préparerai ...
    ... si vous voulez. Le jeune me regarde et son envie est évidente. Il vient d’enculer sa femelle et il veut me faire la même chose. C’est plus que flatteur. Inspirer un homo ! — D’accord, mais qu’il se nettoie avant, et bien entendu avec capote. Les 100 € vont rejoindre les autres sur la table de nuit. Le vieux nettoie la bite de l’autre avec une de mes serviettes. C’est fait si délicatement que la bite est toujours raide. La capote est enfilée. Il me reste à me placer. Jamais je ne me suis positionnée de cette façon. Chris m’enculait après m’avoir prise normalement, jamais en direct. Mais une pute n’a pas de gêne pour se placer à quatre pattes sur le lit, la croupe offerte, les cuisses bien ouvertes. L’éclairage s’est éteint dans la rue, les vitres de la fenêtre se sont transformées en miroir. D’en face on doit avoir une vue parfaite sur la chambre. « Chéri, regarde par la fenêtre ! Regarde ta femme ! Regarde la Vieille, la frigide ! Tu ne la reconnais pas ? Pourtant c’est bien elle, tu l’as souvent vue à genoux pour que tu la prennes en levrette, position que nous aimions tous les deux. Regarde-la bien, le cul offert à celui qui… Oui regarde, il arrive. Non, ce n’est pas lui, c’est son copain. Il me lèche le cul, glisse la langue dans mon orifice étroit. Toi, tu ne me l’as jamais fait. Tu aurais dû, c’est bon, très bon. C’est chaud, humide. Mais moi aussi je me vois. La salope qui attend le mâle c’est moi. Celle qui appuie maintenant sa tête contre le drap, creusant encore plus ...
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