1. Secret de famille (2)


    Datte: 21/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... des banalités qui n’auraient jamais laissé croire que le samedi précédent, nous avions un peu flirté ensemble. Ce n’est qu’à l’appartement qu’il me fit un compliment sur ma tenue. - Enlève ta veste, tu seras plus à l’aise. Et en découvrant mes épaules nues, il ne put taire son admiration. - Tu es à croquer. J’ai alors pris conscience que ma tenue était peut-être un peu trop « sexy ». Je ne voulais pas me faire provocante et je suis venue surtout pour entendre la suite de son histoire avec ma mère. C’est en tout cas ce que j’aime m’entendre dire. Le matin, j’ai vu le soleil poindre son bout de nez et j’étais heureuse de pouvoir en profiter le weekend sans aucune autre arrière-pensée. Le printemps est une saison que j’apprécie et j’aime flatter la journée en choisissant de m’habiller d’une tenue légère. Je n’avais d’ailleurs pas pris encore la décision de venir le voir. Oui j’y avais pensé toute la semaine, effectivement, il n’y avait pas beaucoup d’incertitude, mais cela n’était pas certain à 100%... même si j’ignorais ce qui aurait pu me faire changer d’avis, l’option existait. Enfin, les mots cajolent la réalité pour la rendre plus présentable et j’affirmais ainsi ce que je voulais me persuader. Et maintenant j’étais chez lui. - Vous n’aviez pas terminé… - Oui, je sais et bien avant de commencer, veux-tu boire quelque chose. Le café apporté, il s’installa dans le canapé, à côté de moi et commença son récit. - J’en étais où ? - Ma mère avait eu peur du cheval… - Ah oui... ...
    ... elle était donc toute couverte de paille, j’ai commencé à frotter ses vêtements, mais en nettoyant l’arrière de sa robe, je n’ai pas pu résister à la tentation de ces fesses offertes à ma main. En apprenant ensuite à le connaître, je sais maintenant qu’il a beaucoup de mal à résister aux tentations, il adore d’ailleurs citer Oscar Wilde : « Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder » était devenue sa propre devise. - le petit geste insignifiant pour débarrasser le vêtement des quelques brins de pailles est ainsi devenu une caresse de son postérieur. Marie ne s’en est pas rendu-compte tout de suite, mais comme ma main, non seulement s’attardait sur son popotin, mais le pressait assez pour guider son corps vers le mien, elle se tourna vers moi pour protester, mais en se retrouvant dans cette position, face à moi, elle est devenue toute rouge et n’a pas osé prendre la parole. Ce passage me fit penser à ce que j’avais vécu la semaine dernière. Je m’étais aussi retrouvé face à lui et moi non plus je n’avais pas su résister. Je me doutais donc de ce qui allait se passer. - Je savais déjà avant cet instant qu’elle était attirée par moi, mais j’en ai eu la confirmation en la voyant rougir sans dire un mot et surtout sans chercher à se dégager de mon étreinte. Mon autre main s’est alors à son tour posée sur son derrière, un peu comme un danseur de Java un peu audacieux. Nous nous faisions face, je la regardais, elle regardait ses pieds. Il s’arrêta de parler et me ...