1. Aventure dans un gîte naturiste (5)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur la peau fine de la hampe, la consistance molle se transforme, prenant du volume et des centimètres. Rapidement, la chose flasque et pendante devient un tuyau rugueux recouvert d’une fine peau soyeuse sous mes doigts, le gland violacé pointe à l’extrémité quand je le décalotte. Je mouille, un torrent decyprine déferle dans ma chatte et suinte sur mes cuisses, tel un ruisseau sauvage. Sylvie veut saisir sa queue qui s’échappe de mes doigts et bondit vers son ventre. Il lui ordonne : — Prend-là et décalotte le gland, tire le prépuce en arrière …N’ais pas peur ça ne me fait pas mal. Son gland apparaît en entier, gros comme un champignon, je n’en reviens de la différence de taille avec celle de Jean, son gland fait bien le double en longueur et en épaisseur. -Vous pouvez vous y mettre toutes les deux, il y a la place ! Je le regarde dans les yeux et lui obéis, nous joignons nos deux mains sur son chibre et commençons une sarabande folle, ses couilles, son gland, sa hampe, tout y passe ! Il est si gros… Je compare en enserrant dans mon autre main le poignet de Sylvie, je suis effarée… Ses attaches sont plus fines que cette bite !!! Une goutte perle de la fente, translucide, je me jette dessus pour la happer de la langue ne voulant surtout pas laisser perdre ça. — Vous allez mefaire jouir les filles ! — Tu veux qu’on te suce? -Je n’attends que ça, ouvrez bien la bouche, j’ai envie d’une bonne pipe ! Il s’est assis sur le bord du billard et en profite pour mettre ses mains ...
    ... dans nos chattes détrempées. Ses doigts fouillent notre intimité, nous gémissons en cœur, ses doigts restent en surface excitant nos clitoris sans chercher à trop s’introduire, un clapotis significatif lui indique que nous sommes lubrifiées à souhait. Je respire fort confrontée à l’imposante verge bandée, je ressens les battements de mon cœur dans ma chatte et ma poitrine. Mes doigts étroitement serrés autour de son membre ne peuvent se fermer complètement à sa base. Je pose mes lèvres à l’extrémité du gland, darde ma langue, lèche la peau si fine. Il m’encourage : — Ooohhh! C’est divin! Prend-là dans ta bouche ! Suce-la ! Tu en meurs d’envie. Ooohhh !!! Graduellement, mes lèvres glissent sur le gland puis s’attaque à la hampe, absorbant centimètre après centimètre cette colonne sans fin. J’en ai absorbé la moitié réalisant que je ne peux en avaler davantage au risque de m’étouffer. Les yeux fermés, je commence à sucer sa queue à la rigidité fabuleuse qui devient de plus en plus dure. Mais Sylvie s’impatiente et je dois lui céder la teub de Patrick. Elle avance son visage vers la colonne charnue, écarte les mâchoires autant qu’elle peut pour prendre en bouche la queue énorme. Le gland trigonocéphale pointe de façon obscène vers le haut, elle le gobe enfin. Des bruits obscènes de succion emplissent la tente, mélangés à ses gémissements. Ses doigts sont serrés comme ils peuvent à la racine de son membre. Elle secoue vigoureusement le mandrin tout en avalant le plus qu’elle peut, ...