Ma voisine et moi - Histoires de Sexe

Ma voisine et moi

... des jeunes vendeuses. J’en ai eu deux aujourd’hui qui voulaient que je les aide à essayer des pantalons en cabines. Le genre libidineux qui pensent qu’ils font craquer les femmes parce qu’ils ont de l’argent. Ça me fait gerber.— C’est normal pour une jolie fille comme toi. T’es souriante et t’as un corps de rêve, alors ils tentent leur chance. Avec certaines filles ça peut marcher.— Pas avec moi ! les hommes de cet âge là ne m’excitent pas du tout, je préfère les mecs comme toi, qui cherchent pas à sauter tout ce qui bouge. Et puis à leur âge ils ne doivent plus bander très dur…contrairement à toi en ce moment ! Je m’étais assis pour tenter de cacher mon excitation, mais apparemment je ne suis pas très doué pour le camouflage. Et ça réplique me fait durcir encore plus, et je me sens de plus en plus serrer dans mon pantalon. — je suis désolé mais je te trouve tellement attirante que j’ai pas pu me contrôler.— Oh, mon pauvre chéri, tu dois te sentir à l’étroit là dedans. Mais ça ne me dérange pas, bien au contraire. Quand j’ai rencontré Sophie la semaine dernière, je me suis dit que je profiterais bien de son absence pour essayer de t’avoir. Et l’occasion s’est présentée ce matin, alors je ne compte pas la laisser passer. Et apparemment tu as envie de moi n’est-ce pas ? Elle s’était assise à côté de moi en disant ça, et je sentais que j’étais à deux doigt de lui sauter dessus, mais je préférais la laisser faire. — je ne peux pas dire le contraire, mais je ne voulais pas faire ...

... le premier pas. En plus je suis un peu intimidé car j’ai peur de ne pas être à la hauteur. Tu sais Sophie n’est pas très portée sur le sexe, alors que toi je t’ai souvent entendu crier ta jouissance avec tes mecs.— C’est vrai que j’aime me faire prendre sauvagement. Et en ce moment j’ai envie que ce soit avec toi. Alors laisse moi prendre les devants et je crois que tu ne me décevras pas. Sur ces mots, Aicha approche son visage du mien et m’embrasse délicatement. Ce premier baiser, d’abord léger, se transforme rapidement en un ballet endiablé de nos langues. Je suis excité au plus haut point et ballade sauvagement mes mains sur tout son corps pendant qu’elle vient s’asseoir sur moi. Je profite notamment de cette position pour prendre ses fesses à pleines mains. Elles sont fermes et généreusement cambrées. J’en profite pour passer les mains sous le tissu afin de caresser sa peau que je suppose douce et onctueuse. Et au lieu de tomber sur le tissu d’une culotte ou la ficelle d’un string, je ne trouve que sa peau nue, elle ne porte rien sous sa jupe très légère ! Aicha, qui était partie à la découverte de mon corps et plus précisément de l’intérieur de mon caleçon, relève ma surprise et me dit en chuchotant : — j’avais tellement envie de te voir en rentrant du boulôt que je n’ai pas pris le temps de tout mettre. Ça ne te dérange pas ?— bien au contraire. Sophie ne me fait jamais ça ! j’adore ce côté salope et je vais te le montrer ! Sur ces mots, je rapproche deux doigts de sa ...