1. Les bachelières (4)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Hétéro

    ... que peut me procurer mon corps. Je n’ai qu’à me laisser guider par mes envies et accepter de tout essayer. Morgane, quant à elle, a également joui sous mes caresses et c’est, lovées l’une contre l’autre, que nous nous assoupissons. Une heure plus tard, je me réveille et me dégage des bras de mon amie. Ou devrais-je dire maintenant de mon amante ? Elle marmonne deux ou trois mots incompréhensibles puis se rendort. Je quitte alors sa chambre et retourne dans la mienne en emportant mes vêtements. Je ne suis pas encore couchée que j’entends la moto de Pascal vrombir à l’entrée du garage. Je l’avais oublié celui-là, toute à savourer mon plaisir dans les bras de sa sœur. Mais, maintenant qu’il se manifeste à nouveau, mes pensées de ce matin me reviennent en mémoire. Et mon envie de baiser avec lui se rallume in petto ! Cependant, le problème pour le séduire reste entier. Qu’à cela ne tienne, je vais au moins me faire plaisir en allant le mater, en espérant qu’il se branle, ce qui semble probable vu qu’il semble très porté sur la chose. Je laisse passer un moment pour lui donner le temps de s’y mettre puis je descends et m’installe à mon poste d’observation. Et là, bingo, Pascal est lancé dans une nouvelle séance de masturbation. Je l’observe longuement, hypnotisée par le spectacle, les yeux écarquillés par l’excitation et l’eau à la bouche tant j’ai envie de sucer cette bite resplendissante. Je ne remarque pas immédiatement qu’il change de position sur son lit et, tout à coup,... ...
    ... il m’aperçoit. — Oh, tu es là Mélanie... — Euh, je... pardon..., je ne sais pas... je n’aurais pas dû... excuse-moi... oublie-moi, je m’en vais... Je ne sais pas où me mettre ni quoi dire tellement je suis gênée. Je ne réalise même pas que je suis moi-même nue comme un ver sous ses yeux. — Non, non, Mel, ne t’excuse pas, au contraire, reviens, je suis bien content de te voir là. Entre et couche-toi près de moi. Depuis que tu es arrivée samedi j’ai envie de toi et je ne savais pas comment te le faire comprendre. C’est à toi que je pensais en me branlant ! Et bien maintenant, le problème est résolu. Car, vu ta tenue, je suppose que tu n’es pas venue pour me demander l’heure... ! Mince alors, je ne m’attendais pas à celle-là. Mais j’en suis comblée et je n’hésite pas à entrer complètement à poil en pleine lumière dans sa chambre. — Mon Dieu, tu es encore plus belle que je ne l’avais rêvé. Viens contre moi que je caresse ton splendide corps. Non seulement je viens contre lui mais, sans préambule, je réalise immédiatement mon fantasme : je prends son phallus tendu entre mes mains et j’avale son gland. — Aouh, que c’est bon... vas-y, continue... vas-y encore... plus fort... Puisque ça lui plaît, je sors le grand jeu. Entre ma langue qui court partout sur sa bite, mes mains qui le pompent et lui malaxent les couilles et ma gorge qui l’engloutit, il ne tarde pas à monter comme le lait sur le feu. Mais je ne veux pas qu’il jouisse trop vite, pas sans moi,... et j’attends beaucoup de ...