1. Mon plaisir est pour toi


    Datte: 22/01/2021, Catégories: h, Masturbation tutu,

    Ce soir, j’ai décidé de me masturber jusqu’à me faire éjaculer, pour toi. Je sais qu’à cette heure, même tardive, il y a quelqu’un qui pense à moi. Moi, je suis là dans mon canapé après avoir pris une bonne douche pendant laquelle je m’imaginais avec toi, et je dois dire que de telles pensées ont eu un effet terrible sur mon sexe. J’ai enfilé mon peignoir, je suis bien étendu totalement nu, mon corps fraîchement lavé qui sent bon le gel-douche à la vanille. Je suis allongé la tête sous un coussin, une jambe sur le canapé, l’autre posée le long, mon peignoir encore noué autour de ma taille. Je repense à toi, à nos échanges de mails. Je sens comme une raideur dans mon bas-ventre. J’entreprends de dénouer ce peignoir qui maintenant me gêne ; je me décide même à l’enlever totalement. Je me relève, défais le nœud et le fais glisser en corolle à mes pieds. Je suis debout, nu, juste pour toi. Ma verge n‘est plus totalement flasque ni totalement raide, un état juste entre les deux. Je me rallonge, et je commence des caresses lentement, tout doucement. Je caresse tout mon corps d’une main et de l’autre je caresse ma verge tendrement et très, très doucement. C’est merveilleux comme ça me fait du bien, comme mon plaisir est à la fois doux, profond et intense. Je veux me donner du plaisir pendant un long moment avant de me laisser aller à éjaculer. J’éprouve un plaisir indescriptible. Je sais, et tu le sais aussi maintenant, bien faire durer mon plaisir. Et j’ai envie ce soir de le ...
    ... faire durer le plus possible pour toi. Je suis allongé de tout mon long, une main parcourant mon corps, l’autre qui me caresse le sexe très délicatement, tout mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma verge. J’ondule du bassin à la cadence du plaisir. Je suis si bien là, ma queue est totalement raide maintenant, mon gland n’est pas encore totalement découvert mais il commence à pointer, je sens toutes les courbes subtiles de ma verge. Je continue comme ça encore un peu, quelques minutes de plaisir intense. Je tire maintenant sur mon sexe afin de libérer mon gland de son fourreau de peau. Il apparaît complètement dégagé, rouge de plaisir. Je place mon pouce à la base de ma queue pour la faire grossir ; l’effet est immédiat : elle semble grandir encore un peu, et mon gland se gorge de sang, il devient plus gros lui aussi, changeant de couleur et devenant presque violacé. Mon sexe ainsi caressé depuis un bon moment témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d’une grande sensualité, signe de l’intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s’écoule tout doucement du méat de mon gland. Ma verge semble pleurer, mais ses larmes sont des larmes de joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon gland. Tout d’abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m’envahit. Perles de plaisir ...
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