1. Nous sommes vraiment allés très loin avec Tata Geneviève (3)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Salut c’est votre folle de lycra Dans les deux chapitres précédents je vous racontais comment dans ma jeunesse je m’étais retrouvé à être logé chez ma tante Geneviève à Montpellier pour poursuivre mes études en biologie. À l’époque j’étais puceau et surtout innocent mais petit à petit tata Geneviève s’est chargée de mon éducation. J’ai aussi eu l’occasion de rencontrer son amie Coralie, c’est toutes les deux qu’elles se sont chargées de me faire découvrir les joies du sexe. Le début de ma formation s’est étalée sur plusieurs mois et c’est ainsi que j’ai appris à faire la toilette intime de ces dames mais surtout que j’ai découvert le plaisir de la fellation de leur part. Pour la première fois de ma vie je dormais avec une fille, cette dernière étant ma tante, la petite sœur de ma mère. C’était Geneviève qui donnait le rythme et de temps à autre Coralie venait participer. Tata savait très bien que je me faisais des petits plaisirs et que tout cela partait dans mes chaussettes; je pense même qu’elle devait se douter que je pensais à elle à ces moments-là. En fait alors que nous étions dans le canapé a essayer de regarder la télé nous avons plus passer de temps à nous embrasser et nous caresser. À l’heure de se coucher j’ai eu la joie que Geneviève m’invite de nouveau à dormir avec elle. Tata se moquait de moi car j’avais sans arrêt la gaule dès qu’elle me touchait, elle me disait sans arrêt que j’avais un gros potentiel. Ce soir là, je n’ai pas eu besoin de mettre le pyjama, ...
    ... ma tante m’a tendu une culotte qu’elle a sorti du bac à linge sale. La pièce de tissu sentait très bon la femme, très bon le désir et même si cela n’était pas vraiment masculin je ne me suis pas fait prier pour l’enfiler. Elle se moquait de moi car mon sexe de taille respectable n’était pas totalement contenu par sa petite culotte, elle m’a même gratifié d’un baiser sur le bout du gland qui dépassait. La douceur avec lequel elle faisait ça ne faisait que faire croître mon érection, ses caresses conjuguées à la douceur de sa culotte me faisaient fermer les yeux de plaisir. Ma tante se chargeait de mon éducation mais j’avais vraiment l’impression que de son côté, elle se dévergondait jour après jour. Je l’ai encore constaté ce soir-là lorsqu’elle a été glisser trois doigts dans son minou pour me les donner à sucer ensuite. L’odeur et le goût de son nectar me faisaient sans arrêt regretter de ne pas avoir goûté aux femmes plutôt. Avant de me coucher j’ai eu le plaisir de pouvoir l’admirer nue, je n’avais d’yeux que pour ses seins, je n’étais pas expert dans le domaine mais je pense qu’elle devait faire un 95D. Ses tétons qui étaient légèrement plus gros que le diamètre d’un stylo bic sur une longueur d’environ quinze millimètres. Je pense que Tata était désireuse mais moi j’étais surtout omnubilé par la taille et la forme de ses seins. Quand elle a pris mes deux mains pour les poser sur sa poitrine, j’étais aux anges, je sentais quand même un contraste tactile entre la douceur de ...
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