1. Ah! les vacances... (2)


    Datte: 23/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chatte avec Max. Elle adore ça ! Il est vrai que nous pratiquions souvent la double pénétration vaginale avec un gros gode et cela nous excitait terriblement. — Ensuite, tu l’enculeras… Mes paroles se perdirent dans le brouhaha des cris et des gémissements de ma femme, de Max et Jeff. “ ensuite tu l’enculeras“ résonnait encore dans mon esprit. J’abandonnais ma femme à ses pires instincts. J’étais partagé entre un sentiment de colère et de culpabilité. J’offrais ma femme en pâture et elle aimait ça. Qu’adviendrait-il de nous ? Pourtant, je l’observais et la trouvais tellement belle quand elle était excitée et déchaînée. Elle gémissait, criait. Son corps était parcouru de spasme. Elle invectivait Jeff et Max de la prendre fort. Ils devaient aller de plus en plus vite, de plus en plus fort sans jamais faillir ! Son excitation n’avait pas de limite. Jeff prenait sa mission très au sérieux. IL enculait ma femme sans émotion, sans romantisme comme si sa vie en dépendait. Il la pilonnait férocement. Sa queue entrait et sortait de son cul avec une énergie incroyable. Ma femme semblait apprécier cette brutalité. Elle semblait se noyer dans un flot d’émotions. Elle était heureuse. Cette débauche d’énergie avait entamé Jeff qui donnait l’impression de vouloir battre en retraite. Il était haletant et proche de l’asphyxie. Max toujours allongé, profita de cette occasion pour retourner ma femme. — Donne-moi ton cul souffla-t-il Elle s’empala sur sa queue sans attendre. Sa bite était ...
    ... avalée centimètre par centimètre dans cette antre oh combien mystérieuse et que je pensais, jusqu’à présent, être sous ma domination. Son corps était bercé au rythme de ses vas et vient. Ce soir, son cul avait su apprivoisé toutes ses colonnes de chair. Leur redonnant vie. Ses queues étaient soumises à sa volonté. Jeff, se sournois personnage, était calé à côté de ma femme. Elle le suçait sensuellement. La frénésie du début avait laissé la place à une douce harmonie des corps. Son sexe était prisonnier de sa bouche. Elle disparaissait entièrement et réapparaissait inlassablement dans une lente litanie. Jeff se crispa. Son corps était secoué de spasme et je devinais qu’il était en train de décharger toute sa semence dans sa bouche. J’imaginais son sperme gicler au fond de sa gorge. Il était consumé par le plaisir. Déclenchant des gémissements gutturaux et râles de satisfaction. Ma femme, libérée de Jeff, accentua son emprise sur max. Elle s’allongea sur son torse et se laissait bercer dans un lancinant jeu de va et vient. Elle se faisait enculée, certes, mais avec grâce. Tous deux semblait maintenant converger vers le plaisir Dans un dernier effort, Max se libérait, jouissant abondamment sur son sexe, son ventre, jusqu’à ses seins pendant que ma femme jouissait en parfaite harmonie avec lui… Tous disparurent dans la pénombre. Ma femme était là. Sur la chaise longue, les cuisses écartées. Elle semblait comblée. Mon corps brûlait d’envie. Je me jetais sur son antre maculé de sperme. ...
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