une cousine autoritaire (1)
Datte: 23/01/2021,
Catégories:
Lesbienne
... m’assis sur une chaise au milieu de la pièce, elle m’attacha les mains dans le dos. Je devais me tenir bien droite pour que mes seins ressortent bien. Elle passa derrière moi et me caressa les seins ainsi emprisonnés. "Hum... tu vois dans un moment, tu vas bien tout sentir...ça va être bon" Elle sortit fumer une cigarette puis on regarda la télé pendant une heure. "Tu commences à sentir les choses là, on va attendre encore un peu...ça va être bon..." Elle sortit à nouveau, tomba sur la voisine et discuta avec elle. Puis elle rentra. "J’en peux plus, j’ai l’impression que mes seins ont doublé de volume, j’ai le sang qui pulse que là et ils sont tout rouges" Elle passa dans mon dos et les caressa, je gémis mais sans être douloureux ils étaient très sensibles. Elle roula les tétons entre ses doigts, les pinça et tira dessus. Je criais en me cabrant car j’avais mal. Puis elle me bâillonna et sortit de la pièce, elle revint avec un martinet. "Ne t’inquiètes pas, tu vas bien tout sentir...j’aurai dû te dire que cela allait être bon mais surtout pour moi" Elle me fouetta les seins d’abord par dessus, puis directement sur les tétons qui étaient tendus et plus que sensibles. Je gémis mais le bâillon m’empêchait de crier, les larmes coulaient. Elle posa le martinet, je soufflais pensant que c’était fini. Mais elle se mit à me gifler les seins l’un après l’autre, puis elle en attrapa un pour me gifler le téton. Je pleurais et me cabrais, je tirai sur les attaches. Elle s’arrêta et ...
... caressa mes seins à nouveau, je continuais à gémir car même là j’avais mal. Ils étaient à la limite du violet, j’avais l’impression qu’ils allaient exploser. Elle me détacha, j’eus l’impression que la douleur était encore plus forte, j’avaisenvie de me recroqueviller sur moi-même mais je n’osais pas tellement j’avais mal. Elle m’allongea sur le canapé et s’agenouilla à mes côtés. Elle lécha mes seins, les embrassa, les suça et les caressa encore et encore, je gémissais toujours, les seins en feu. Puis elle s’allongea sur le tapis et m’invita à la rejoindre, elle me serra contre elle et pris ma tête contre elle pour que je lui tète le sein. Je pris son téton dans la bouche, le suçai puis le tétai comme un bébé en me serrant contre elle. Elle me réconforta avec des mots tendres, elle me caressait le dos et les fesses. Puis je l’entendis gémir, elle jouit en tremblant contre moi. tgtaaum "C’était bon... tu sais", elle passa sa main sur ma chatte..." dis donc tumouilles là...tu es une petite cochonne qui s’ignore...tu n’as pas jouis mais demain, je te réserve une surprise...ça va?" "J’ai eu mal, mes seins me brûlent encore, mais ce que je ressens est bizarre car après la douleur, j’ai aimé lescaresses comme si les sensations étaient sur développées. Je n’ai jamais senti cela avant." "Tu vas voir nous allons passer quelques jours ensembles que tu n’oublieras pas. C’est génial que tu es pris des congés pour ne pas me laisser seule. Demain, ce sera ton tour d’éprouver du plaisir, je ...