1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1097)


    Datte: 23/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... recommencèrent… Après ces pénétrations énormes, mes orifices, distendus, dilatés, restaient ainsi, lamentablement ouverts, à la disposition de qui voulait encore me prendre ! Et je fus prise ! Mainte fois encore et encore par tous mes orifices dans une overdose d’orgasmes foudroyant… Ce fut alors la « foire » aux bestiaux… Les mâles suivants, montés plus normalement, m’enculaient ou me baisaient en introduisant leurs queues, deux en même temps, mes orifices étant largement ouverts… Et me voilà, sodomisée en même temps par deux mâles déchainés par l’ambiance, les deux bites se touchant mutuellement en moi me donnant à nouveau de curieuses sensations de bestialité totale. Je sentais les deux glands me pistonner, tandis que dans la chatte, dansaient en même temps, deux autres tiges, plus menues… Un véritable lunapark de cul qui à nouveau, à cause ou grâce à tous ces mâles en rut, relançaient en moi les frissons de nouvelles envies… Mes tremblements, à la fois de fatigue mais également d’orgasmes s’annonçant, faisaient que, trempée de sueur et de foutre, je glissais entre les huit mains qui me tenaient, un autre mâle me tenait fermement par le collier pour ne pas m’échapper des tiges qui étaient sur le point de se vider dans la citerne à foutre que je devenais… Les quatre bites me travaillaient avec force, tandis que l’homme qui me tenait par le collier, se faisait sucer la queue par ma bouche. Par les coups de reins des quatre mâles qui me travaillaient, je remuais en tous ...
    ... sens, ce qui ne m’empêchait nullement de gober avec avidité, et sans plus aucune retenue, la tige placée en ma bouche… Je pompais si fort la tige, que je la fis juter rapidement, avalant, dégustant même son sperme, m’en léchant les lèvres, ce qui fit lui dire : - Elle aime ça en plus ! Effectivement, sans explication de ma part, je me mettais à aimer sucer, et avaler sans plus aucune retenue. Les hommes qui passaient, ne se gênaient pas pour venir se faire sucer entre deux éjaculations dans d’autres culs de femelles…je découvrais quelque chose de puissant qui montait en moi : L’utilisation forcée et brutale, sans rien voir, de mon corps, poussé à bout, inondé, saturé d’orgasmes, épuisé même, mais comme mue par une seconde nature, entièrement désinhibée, devenue une véritable chienne non encore assouvie, tandis que mes cavités sexuelles se remplissaient, le suçais, je pompais, je buvais à la source même de ces queues exigeantes… C’est ce ressenti de salope totale, se faisant à excès fourrer à la fois, cul et chatte dilatés par deux bites à la fois, avec en plus, ma bouche avalant tout ce qui se présentait à elle, qui relançait en moi comme dans une seconde nature, de nouvelles vagues orgasmiques. Soudainement, alors que je sentais les bites juter pratiquement en même temps en mon ventre, je me mis à hurler de plaisir. A moi toute seule, j’arrivais à contenter cinq mâles à la fois…et cette idée, me traversant l’esprit, fit de moi, à partir de cette nuit, la salope absolue que je ...