1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°894)


    Datte: 23/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode N°890) - Myna remercia et se retira. Une fois la porte passée, elle fut perdue. Que devait-elle faire, où devait-elle se rendre. Cet endroit était tellement spacieux. Elle n’en connaissait que les pièces principales. Et encore, elle n’était pas sûre des moyens de s’y rendre, étant donné qu’elle avait, jusque là, dû se déplacer en baissant les yeux. Heureusement pour elle, Viktor s’avança près d’elle. Il l’avait attendu au détour d’un couloir et avait voulu voir ce qu’elle ferait. Il avait également remarqué son air perdu. Cette fille était vraiment à sa place. Au lieu de courir pour tenter de sortir, elle était demeurée là, à se demander ce qu’elle devait faire. “Quand tu es seule et que tu n’a rien de prévu sur ton emploi du temps, tu dois te rendre directement à la salle commune. Je vais te montrer le chemin. Exceptionnellement, tu as le droit de lever les yeux, cependant, si nous croisons quelqu’un, n’oublie jamais de baisser tes yeux. Allons-y.“ La jeune esclave se mit en marche. Au bout de quelques pas, un coup de cravache vint cingler ses fesses, déjà endolories et zébrés par les coups de battoir qu’elle avait reçu lors de la cérémonie de libération. Myna ne put retenir un cri de surprise, qui fut accueilli par un nouveau coup. Elle se mordit la lèvre pour ne pas crier à nouveau. Viktor lui rappela l’emplacement de ses bras. Cette dernière s’exécuta, s’excusa et remercia. Ils purent donc se remettre en marche. ...
    ... Décidément, il avait raison, cette fille était vraiment à sa place. Le Maître, le Marquis d'Evans allait vraiment aimer la dresser. Ils arrivèrent sans encombres dans la salle commune des esclaves femelles. Viktor la fit s’installer sur une des tables de massages. “On ne pourrait pas s’installer dans ma cellule, Viktor ?“ “Non, le Maître a supprimé toutes les tables personnelles, tous les soins se feront en salle commune à partir d’aujourd’hui. Si c’est à cause des marques que tu veux te cacher, n’en ai pas honte“ Pour souligner ses propos, il donna une grande claque sur le postérieur de la jeune femme avant de le lui masser avec une huile apaisante et cicatrisante. Lorsqu’il eu fini, il la fit descendre et s’installer sur un des sofas. Il lui ordonna de se restaurer. Encore une fois, elle eu un réflexe de contradiction, en lui disant qu’elle n’avait pas faim. Ce fut la fois de trop. Viktor fit un geste à l’attention de personnes qu’elle ne vit pas. Aussitôt, deux hommes à la peau d’ébène, la dépassant d’au-moins trois têtes, et dont les cuisses et les biceps devaient être plus large que son tronc, se saisirent d’elles, de manière assez brutale. Les traces de leurs doigts allaient laisser des marques sur sa peau diaphane. Ils l’attachèrent à une corde qui pendait. Ils tirèrent dessus à l’aide d’une poulie, afin qu’elle se retrouve étirée vers le haut, ses doigts de pieds touchaient à peine le sol. Lorsque l’un d’eux passa devant Myna, elle remarqua que les deux hommes étaient ...
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