1. Mon mari me livre à ses amis suite N°3


    Datte: 24/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Depuis quelques temps, mon mari avait imposé un règlement pour lequel ma conduite était toute tracée. Ce règlement draconien finissait presque immanquablement de me valoir des punitions corporelles. Tout était basé sur ma soumission, et si je manquais à une obligation, j’étais punie. Aujourd’hui encore, mon mari me téléphona vers 15 heures. Il me demanda si je lui avais obéit en tout. Evidemment comme ses exigences étaient illimitées, je lui avouais quelques lacunes. C’est alors que la sentence tomba. Je devais l’attendre au milieu du salon à genoux sur un tapis de crin (qui me faisait atrocement mal), avec une brosse à cheveux serrée entre mes cuisses au niveau de ma vulve, les lèvres de mon con bien ouvertes de manière à me piquer douloureusement les muqueuses. Il m’avait fallu également disposer sur mes seins un instrument de son invention constitué de deux pinces plates garnies de dents et reliées par un anneau. Les pinces devaient m’écraser les mamelons tout en englobant toute l'auréole. Ca les étirait et les rapprochait en même temps. Je ne vous explique pas la douleur occasionnée. J’avais beau les disposer avec précaution, c’était atroce. Pour compléter le tout j’avais dû disposer un gode énorme en forme d’œuf qui disparaissait entièrement dans mon derrière, après m’être enfilé un litre d’huile avec une poire. (Il me disait que ça assouplissait mes intestins en prévention d’une sodomie sauvage). Enfin pour terminer je devais passer un collier à chien muni d’un anneau ...
    ... à l’arrière réuni à deux bracelets dans lesquels je devais m’emprisonner les poignets. Disposée ainsi et n’ayant pas la clé, j’étais obligée d’attendre que mon maître arrive pour me délivrer.Il arriva deux heures plus tard. J’étais épuisée par toutes les contraintes imposées et mon corps était douloureux. Il s’approcha de moi sans un mot, fit le tour afin de vérifier si j’avais obéit à ses consignes. Satisfait il se débraguetta et me présenta son sexe afin que je le prenne dans ma bouche. Il prit ma tête agrippant mes cheveux et s’enfonça de tout son long. Je suffoquais mais me laissais faire. Il ne mit pas longtemps à se vider dans ma gorge.Il se pencha ensuite derrière moi et attrapa le manche de la brosse et me dit de serrer un peu plus les cuisses. J’obéis, tout en gémissant de douleur car les brins de nylons s’enfonçaient cruellement dans mes muqueuses. Il tira alors doucement la brosse en lui donnant un mouvement de rotation de droite et de gauche, m’égratignant encore plus. Arrivé au niveau de l’anus, il imprima un autre mouvement de va et viens qui me griffa également la rosette distendue par le gode. Je pleurais en me tortillant sans pouvoir éviter le supplice.Il attrapa ensuite l’anneau qui reliait mes seins aux pinces et tira vers le haut afin de me faire lever. Je criais à nouveau car la douleur de mes mamelons qui s’était un peu endormie se réveilla de plus belle. Une fois debout, il continua à tirer vers le haut, m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds. ...
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