1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 1


    Datte: 24/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... doucement... Je ne savais pas qu'on pouvait jouir sous les «coups de langue« ou en suçant le clito. Jamais un homme ne m'avait fait ça... Ce n'est que notre «première fois"... Dommage... J'ai d'autres «petites astuces« pour faire monter une partenaire au septième ciel... Oui, c'est bien dommage... me dit-elle avec un sourire malicieux sur les lèvres. Tu vois, il n'y a pas besoins de faire de longs discours... Nous avons "besogniés" prsque pendant une demi heure sans dire un mot... Nous nous sommes quand même compris... Maintenant, il faut repartir... Je voudrai bien faire un brin de toilette... Regarde, j'en ai plein les fesses et les cuisses... Sous la couchette, j'ai un petit bidon plein d'eau... et un rouleau de papier «essui tout... ici, un gant et une serviette de toilette...» Après une nettoyage sommaire, nous nous rhabillons, chacun reprenant sa place, je mets en route. En milieu d'après midi on arrive à Angoulème. Pendant que nous roulions, Raymonde m'avait expliqué ou je devrais la déposer. Sa valise étant trop lourde, je doits la garder, d'un coup de voiture, elle viendra la récuperer ; Entre Angoulème et Ruffec, il n'y a que cinquante kilomètres, m'avait-elle dit. Je fini d'arriver à l'entreprise pour livrer mon chargement. L'un des responsable, après avoir vu le volume de matériel, me dit qu'ils doivent trier et ranger. Cela demandera du temps. Mon camion ne sera pas libre avant demain dans la matinée. «Ce n'est pas grave... Si ...
    ... cela ne vous gène pas, je vais décrocher la semi remorque. Avec le «tracteur« j'irai manger et dormir dans un relai routier. Demain matin, je serai devant votre porte à l'heure de votre embauche. Bon d'accord... Demain, on commence à sept heure et demi...» Je dételle, laisse la semi dans la cour, et vais stationner sur la zone pour attendre Raymonde qui doit récupérer sa valise. Environ un quart d'heure après, je vois une voiture arriver en faisant des appel de phares. C'est elle, elle avait reconnu le camion. Je lui explique pourquoi je me trouve là et lui demande si elle connaissait un restaurant routier pas très loin. « J'en connais un bon à Villegats, c'est en revenant vers Angoulème... suis-moi, je vais te faire voir...» Chacun reprenant son véhicule, nous nous retrouvons sur le parking du restaurant. Je preds la valise et la dépose dans le coffre de la voiture. Je m'avance vers Raymonde pour l'embrasser et lui dire au revoir. Elle m'arrête et me dit : «Tu ne vas pas dormir dans ton camion... Prends tes affaires, je t'invite chez moi. Tu pourras te doucher, manger, dormir. Demain matin je te ramènerai ici... Tu es sûre que je vais pouvoir dormir ? On verra bien... Viens ! » Je monte dans la voiture, à coté de cette femme qui a une vie confortable, mais qui a « le feu aux fesses » et n'hésite pas, quand l'occasion se présente, de «se faire baiser par un jeune homme« selon ses dires... Mais cela est une autre histoire... Á suivre... Petikokin 
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