1. La gérante de la galerie d'art (17)


    Datte: 24/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ce service, mais ça devait lui brûler les lèvres. Elle me regarda un moment en silence, un petit sourire d’attente. Alors je lui posai franchement la question : « - J’ai l’impression que vous avez envie que je vous fesse, Irène ? Me trompé-je ? » Elle rougit un peu, mais avec un sourire de contentement et sans baisser les yeux elle me répondit : « - Oui… j’avoue. J’en meurs d’envie… Vous accepteriez de me rendre ce « service » ? — Vous êtes une inconditionnelle de la fessée ? Cela vous procure donc beaucoup de plaisir… ? — Oh oui ! — Alors j’y consens. Mais où ? — Par là, venez. » Et elle m’emmena vers un salon, me prouvant par là sa préméditation. « - On dirait que vous connaissez parfaitement la maison ? Et vous avez l’autorisation des maîtres de lieux ? — Oui bien sûr. Je suis une habituée de cette demeure… et ce sont mes amis ! — A la bonne heure. » Elle me fit rentrer dans ce salon rouge, tout habillé de tentures, de fauteuils et de banquettes anciennes garnies de velours rouge sombre. Je pris place en m’asseyant au bord d’une confortable banquette. « - Allez Madame la sous-préfète, on se met cul nu ! On ôte sa jupe et on vient s’allonger à plat ventre en travers de mes genoux. J’avoue que j’aime beaucoup punir une femme avec une strappe en cuir, mais une fessée à la main procure des sensations tactiles et un plaisir irremplaçable. » Visiblement très excitée, la rombière aux très larges hanches s’était débarrassée prestement de sa jupe et s’allongea le plus ...
    ... confortablement possible de tout son long en travers de mes cuisses, m’offrant le spectacle indescriptible de son somptueux fessier parfaitement offert. Je me mis à caresser la peau douce et souple de ces masses fessières, en appréciant la mollesse. Elle frissonna, la peau se hérissa de chair de poule. Elle aurait presque tremblé de ce contact qu’elle avait tant attendu. « - Posez le bout de vos doigts sur le sol. Et interdiction de les lever ne serait-ce que d’un millimètre. Au moindre manquement je serai obligé de finir la punition en vous zébrant ce fessier avec ma ceinture. — Entendu… Maître ! » Et là, la fessée commença. D’abord doucement, faisant bien claquer la chair, à un rythme très lent presque solennel, comme une marche militaire, puis plus rapidement, alternant fesse gauche, fesse droite, de temps en temps les cuisses. Elle poussait des soupirs qui accueillaient les claques. Je faisais des pauses brèves mais régulières, mes doigts s’égarant entre ses fesses, ou effleurant la naissance de ses babines vulvaires. Puis je reprenais. Elle comprit, avec satisfaction je pense, qu’elle avait affaire à un expert et qui aimait prendre son temps. kvukrrpl A la pause suivante je lui demandai d’écarter un peu les cuisses. J’en profitai bien évidemment pour insinuer le bout de mes doigts entre ses nymphes que je trouvai toutes humidifiées de mouille. Comme c’était une bonne soumise, amatrice de fessée et de domination, et qui semblait endurante, je la branlai un peu. Elle se mit à gémir en ...
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