1. Nicole, prête à tout (4)


    Datte: 24/01/2021, Catégories: Transexuels

    ... me fit frissonner de plaisir. Il n’en fallut pas plus pour que je jouisse à mon tour. Igor avala lui aussi ma semence. Enfin pas toute car, lorsqu’il se releva, ce fut pour me rouler une pelle et cracher ma propre semence dans ma bouche. Il quitta la chambre sans plus de commentaire, ma laissant les bras ballants, incapable de bouger ni de penser. C’est à ce moment-là qu’Isabelle refit son apparition. — ah, vous avez déjà fini ? Tant pis. C’était bien ? — oui, répondis-je, encore dans un état second et sans savoir ce que je disais. Je revins doucement à la réalité. Je pris une douche et redescendis dans mon loft. En passant, je vis Isabelle dans le salon. — je peux poser une autre question ? xwqxeerz — toutes les questions que tu veux. — vous pensez vraiment que je peux ressembler à une fille ? — oui, me dit-elle après m’avoir toisé une nouvelle fois de la tête aux pieds et inversement. Oui, tu as la morphologie qui s’y prête. — et il faudra que je prenne un traitement … comme Clarisse ? — j’avoue que j’aimerai bien. Mais ça, je n’ai pas le droit de te l’imposer. Ce sera à toi de le vouloir et de le décider. — merci, dis-je. Bonne soirée. — bonne soirée Xavier. A demain pour ta décision. Je regagnai mon lit. Je n’avais pas faim. Je repensai à la décision que je n’avais toujours prise, à mon avenir. Pour le moment, il se limitait à ...
    ... toutes les rues de France et de Navarre. Mon avenir selon Isabelle, c’était moi en fille, jouet sexuel mais avec un toit, de l’argent, la Sécu et la retraite. Tentant, diablement tentant. Je repensai aussi à ma partie de jambes en l’air avec Igor, du sexe entre hommes seulement. Mis à part le moment de panique quand Isabelle s’était éclipsée, tout s’était bien passé. Pas de brutalité, pas d’humiliation. De la tendresse, de la douceur, et oserai-je dire de l’amour. Igor m’avait bien ramoné mais il m’avait aussi sucé. Isabelle disait que tous et toutes étaient bisexuels. Cela devait valoir pour Igor qui habitait ici. J’en étais beaucoup moins sûr pour Rosette et encore moins pour Manon qui ne venaient que quelques heures dans la semaine. Partant de là, rien n’empêchait que je sodomise le balafré à mon tour. Cette perspective me fit bander. Alors que la soirée était bien avancée, mon ventre se fit entendre. Je me dirigeai vers la cuisine et fouillai dans le frigo. Des gémissements venant de l’étage me confirmèrent qu’Isabelle se faisait encore prendre par Igor. Mon ventre se noua et pas seulement par la faim. J’attendis désespérément qu’on m’appelle. Mais rien. Isabelle poussa un cri, point culminant de son orgasme, point final du coït. Je retournai vers mon lit, un sandwich de pâté et une pomme dans les mains. Ma décision était prise. 
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