1. Méli-Mélo, au galop


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... m'a dit, hein que ton jus d'amour sent bon ? Si tu veux bien, tu me réserves la prochaine fournée. Moi, je pensais, lui faudra être prompte car je suis vraiment off limit. Mes mains à ses fesses l'ont souvevée, de toute la longueur de ma tige puis je l'ai relâchée. Ma bite à coulissé dans le fourreau étroit trempé de ses émotions jusqu'à toucher le dur du col et s'immobiliser dans le souple au dessus. En arrêt. Je savais que c'était là le meilleur. Bien meilleur qu'activités de limage stackanovistes. Elle le savait aussi ou alors simplement l'a ressenti et ses jambes se sont refermées sur moi pour mieux me serrer et amplifier le contact du bout du gland sur le tissu fortement innervé au coeur d'elle. Je m'y attendais, cela lui a suffit pour repartir en contractions de jouissance. Et elle s'est mise à chanter en longs rales musicaux. Et moi je faisais le vide dans ma tête pour respecter sa demande. J'avais envie de sucer à nouveau ses tétons. Je l'ai repoussée en arrière et elle s'est étendue sur le dos. Il m'a fallu la quitter mais une petite pause était bienvenue, un peu d'air frais calmerait mon impatience. J'étais à quatre pattes, la queue dressée entre les jambes, à suçoter son thorax. Elle avait la tête en arrière, bouche bée et j'entendais la chanson de ses plaisirs, comme guide à mes caresses. Cette absence de seins était bien plus sensible que les nibars standards. Les tétons se levaient dès que j'approchais les doigts ou les lèvres, les aréoles étaient gonflées et ...
    ... le moindre effleurement déclenchait des ronronnements de satisfaction. Jusqu'au moment où j'ai entendu la chanson que je savais, la chanson de son plaisir. Elle s'éclatait de mes lèvres sur sa poitrine ! Elle s'est alors emparé de ma bite et en quelques mouvements de pompe elle a provoqué mon épanchement. Elle s'est promptement glissée en dessous de moi pour boire à ma queue comme le veau boit au pis. Ce faisant elle me présentait son pubis glabre avec fente charnue de gamine et languette rose qui dépassait. Je n'ai pas réfléchi et, posé sur mes coudes, mes deux mains écartant ses cuisses pour mieux l'ouvrir, j'ai plongé mes lèvres dans le doux luisant pour boire moi aussi ses humeurs claires. Elle n'était plus affairée sous moi, probablement n'avais-je plus rien à donner, et s'abandonnait, écartelée, à ses propres sensations. Je me doutais qu'il suffirait de peu pour l'envoyer une fois encore au nirvâna. Quand ma langue est venue balayer son petit bouton, elle a repris sa chanson. Mes lèvres ont aspiré puis repoussé la peau, dégageant la petite tête pour l'offrir à ma langue titillante. Et elle est repartie... Je n'ai pas attendu et me suis roulé sur elle, la prenant dans mes bras, lui offrant, en un baiser long, retour de son offrande de tout à l'heure. Elle m'a dit, moi je connais l'odeur de moi. Tous les soirs je me délecte de humer mon gousset. Elle a chopé une fois encore ma tige de sa main chaude et, la jugeant apte, s'est ouverte, cuisses levées, à ma visite. J'avoue ...