1. Les amants


    Datte: 25/01/2021, Catégories: fh, couple, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral nopéné, confession,

    ... aux éclats. — Comme tu es émotif, mon chéri. Il ne faut pas te mettre dans des états pareils. Tu n’as pas touché à ton assiette. Pas d’appétit ce soir ? Moi si ! Tu nous apportes un peu de fromage ? Quelques minutes plus tard, je lui présente le plateau. Elle choisit tranquillement ceux qui se marieront le mieux avec le vin. — Tu n’en veux pas, je suppose ? Alors rapporte le plateau et reviens près de moi. J’ai une surprise pour toi. Je me dépêche d’obéir. Aurait-elle décidé de passer à la suite ? Je manque de défaillir lorsque, revenu à côté d’Elle, je la vois se pencher sur mon phallus, afin d’en humecter le bout de la langue, et de le faire lentement glisser dans sa bouche, les yeux rivés dans les miens. Elle me garde en Elle quelques secondes, et se retire doucement, s’arrêtant un instant à la base du gland pour le serrer entre ses lèvres et me « marquer » d’une couronne carmin, comme Elle aime le faire presque à chaque fois. — Je ne vais pas plus loin pour l’instant, tu ne supporterais pas, et j’ai envie de te faire languir encore un peu. Retourne t’asseoir. J’enrage. Jamais Elle n’a pris tant de temps pour manger un bout de fromage. Jamais repas n’a duré aussi longtemps, même chez ses parents qui sont pourtant spécialistes des agapes interminables ! Jamais je n’ai eu besoin de l’aimer comme ce soir, de la posséder, de lui faire sentir l’ardeur de mes reins, de me répandre en Elle. Je n’écoute plus, je ne parle plus, je ne mange plus : je bande. Je ne suis plus qu’un ...
    ... braquemard qui tressaille à chaque battement de mon cœur. Pendant les heures qu’elle met à grignoter ses trois ridicules morceaux de fromage, je la baise, je la force, je la viole, je l’encule sauvagement, je me sers d’elle pour mon plaisir, je lui fais voir qui est le maître… C’est un changement dans le rythme de son inlassable babillage qui me tire de mon délire érotique. — Bon, je prends mon dessert et je suis à toi. C’est un peu spécial, mais je pense que tu vas aimer. Pourrais-tu débarrasser la table entièrement, j’en ai pour une minute. Je m’empresse d’obéir, car le jeu ne m’amuse plus. Le désir est devenu souffrance, et il ne s’en faut que d’un cheveu pour je me fasse jouir seul afin d’être enfin apaisé. J’ignore quel dessert Elle a bien pu aller chercher dans la chambre, mais la table est débarrassée quand Elle en sort. Je suis subjugué par sa beauté. Elle a juste retiré sa jupe et son chemisier, et Elle s’avance vers moi. Les talons hauts de ses grandes bottes claquent sur le plancher, et Elle s’avance comme une reine, une déesse, un petit sourire moqueur aux lèvres, vêtue de ses seuls bas et porte-jarretelles, les longs cheveux blonds cascadant jusqu’à ses hanches rondes, les petits seins arrogants, les lèvres intimes gonflées et humides de désir. Elle est impudique, sensuelle, irrésistible, parfaite, et Elle en est pleinement consciente. Un doigt vernis de noir me repousse jusqu’au bord de la table. — Allonge-toi sur la table, sur le dos. Vite, j’ai envie de jouir… ...
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