La passionnée de plongée sous-marine
Datte: 25/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
inconnu,
vacances,
Collègues / Travail
bateau,
amour,
intermast,
entreseins,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
portrait,
coupfoudr,
... sans sensation chaleur, je vous emmènerai plonger dans une grotte après, lui dis-je en souriant— Enfoiré ! J’aurais dû me taire ! Moi et ma grande bouche ! Elle était hilare aussi. Sympa, cette fille, très sympa, nature, droite, et drôlement bandante en plus. — Je n’en n’ai pas pour longtemps, profitez-en pour bronzer. Restez à l’écoute sur le canal 16, le nom du bateau c’est Bellalix, si jamais on m’appelle, prenez le message, ok ?— Oui patron. À vos ordres Patron. Tout ce que vous voulez, Patron. Enfin, presque tout…— Et coquine, avec ça… Bon, j’y vais. Et gaffe au soleil, il cogne, le bougre ! Je m’équipai, et une heure après, la chaîne, l’ancre et moi-même étions de retour dans la barge. — Direction le yacht bleu et blanc là-bas, matelote. Je lui désignai un gros yacht de plaisance de 40 m, en plein milieu de la rade. — À vos ordres, commandant. Elle avait mit une casquette. Elle était terriblement attirante comme ça. Elle a adroitement abordé le yacht, les marins ont embarqué la chaîne, l’ancre a retrouvé sa place dans l’écubier, et je suis monté à bord avec mon facturier. Le capitaine m’a donné 1000 euros « pas besoin de facture, merci pour le boulot, pas un mot au boss si jamais… » Ok, tu veux masquer ta boulette… pas de problème. Et puis, un peu de black, ça ne se refuse pas ! Je sautai dans la barge avec à la main les 20 billets de 50 €. — Houa, vous en avez fait, du fric, en une heure, vous !— Oui, des fois, une bonne journée, surtout avec les gros yachts de ...
... plaisance. Ils sont blindés et pas trop rats. Enfin, certains. D’autres, c’est à croire qu’ils ont des oursins dans les poches.— Comme j’aimerais faire votre métier, moi.— Vous savez… heu, on pourrait se tutoyer, non… Tu sais, tu vois ça, une petite inter’, en plein été, du pognon… ça, c’est le bon côté. Je travaille aussi l’hiver, sur des opérations moins bien payées et plus pénibles. C’est comme tout. Une fois, en février, en sortant de l’eau, paf, j’ai les lèvres qui ont gercé en deux secondes, à cause du froid. Pas génial, sur ce coup-là.— Oui, tu as raison. On fait quoi, maintenant ?— Bon, je ne peux pas plonger pendant six heures, vu les paliers que je viens de faire. Normalement, on rentre au port, je range le matos, je regonfle le bloc, puis je vais bricoler à mon atelier ; j’entretiens aussi des bateaux pour des clients. Un coup de jet d’eau, faire tourner les moteurs, tout ça, histoire qu’ils puissent en profiter pendant leurs vacances, sans les soucis de redémarrage d’après hivernage.— Je pourrais pas plonger un peu vite fait ? Tu restes au-dessus, avec ton bateau, je vais pas profond. Allez, dis oui, sois sympa…— Tu as quel niveau ?— Deux étoiles.— Ok, on va sur la vallée des Gorgones, mais tu ne descends pas au delà de 15 mètres, ok ?— Promis ! Merci ! T’es super ! Je t’adore ! Ah et puis zut ! Et paf, elle me colle un énorme bisou sur la joue. Elle sent bon la crème solaire. — Bon, n’en profite pas, sinon je vais faire comme le vieux con de Lyon-Nice !— Ah non ! Ne me ...