Besoin d'évasion...
Datte: 25/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
gros(ses),
gymnastiqu,
campagne,
telnet,
noculotte,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hgode,
... slip avant de l’enlever et de me lécher goulûment la chatte. Une douce chaleur envahit mon entrejambe à la simple évocation de cette caresse buccale. Sans l’ombre d’une hésitation, je poursuivis le scénario là où il l’avait laissé : après avoir jouis sous les caresses de sa langue, je le déshabillai, découvrant un sexe magnifiquement dressé que je suçai avidement avant de le chevaucher pour m’empaler dessus. Le ton était donné… On s’est écrit d’autres scénarios du même acabit… Chaque soir je me connectais pour le retrouver sur Internet, nous nous excitions mutuellement, j’ignore qui provoquait l’autre, je pense qu’on peut réellement parler d’émulation, nous nous sommes pris au jeu ensemble, dans une même complicité… J’ai adoré… J’ai adoré tous ces moments de stimulation, de provocation et d’excitation. Un après-midi, il me proposa de le rejoindre sur MSN, l’échange de messages étant instantané, on pourrait se dire plus de choses… C’était absolument incroyable, inouï ! Le fait de le savoir là, en ligne avec moi, m’excitait au plus haut point, je n’avais jamais mouillé autant, j’avais envie de lui, de le prendre dans mes bras, de le sucer, de le baiser… Je n’en pouvais plus ! Et le pire, c’est que je n’en avais même pas honte… A un moment donné, il m’intima l’ordre de me caresser « tout de suite » et je ne pus résister à son appel, c’était plus fort que moi, il aurait pu me dominer s’il l’avait souhaité, j’étais incapable de lui refuser quoi que ce soit et il m’excitait ...
... terriblement. Lorsque j’ai dû me déconnecter, il me donna son numéro de téléphone pour que je l’appelle plus tard dans la semaine, sur son lieu de travail. A l’heure et au jour prévu, c’est avec une certaine appréhension que j’ai composé le numéro. Une standardiste annonça le nom de l’établissement et transféra la communication dans son bureau. Je n’étais pas à l’aise, je me sentais gauche, niaise, ridicule. Je l’écoutai me parler de tout et de rien, totalement grisée par sa voix « j’ai très envie de te voir, de te regarder, de passer ma main dans tes cheveux, de t’embrasser, je glisserai mes mains dans ton dos… », ses mots me transportaient vers d’autres lieux, je nous imaginais lui et moi en train de faire l’amour comme des fous, je mouillais de plus en plus… J’étais déjà trempée quand il me dit tout à coup : — Caresse-toi…— Non…— Caresse-toi s’il te plaît, glisse ta main entre tes jambes « tout de suite ». Je m’exécutai. — Glisse ta main dans ta culotte.— Oui voilà …— Introduit un doigt. Je fermai les yeux, j’avais déjà humecté mon index de ma salive, et j’étais déjà en train de masser lentement mon clitoris déjà bien gonflé. Je plongeai un doigt dans mon vagin pour y recueillir un peu de cyprine afin de le lubrifier encore davantage. Je me caressai d’une main, tenant le téléphone de l’autre, et j’écoutai la voix de cet amant qui n’avait décidément plus grand-chose de virtuel : — Mets un deuxième doigt.— Mes doigts sont trop courts.— Moi j’ai les doigts bien longs, je vais te les ...