Tout ça pour une chambre !
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
... avoir besoin ! * * * Ce matin, je lui ai proposé d’aller sur plage perdue au fond de la lande, tous les deux, sans la famille. Après avoir garé la voiture, nous avons emprunté un sentier escarpé. Bonne idée : nous sommes pratiquement seuls sur cette plage magnifique. La marée est haute, et l’eau d’un bleu émeraude. Je regarde Colombe, enroulée dans sa serviette, remonter rapidement la plage ; elle s’est baignée. Arrivée auprès de moi, elle s’étale sur sa serviette à plat-ventre. Je regarde son corps longiligne et ses fesses galbées. Aujourd’hui, elle a un deux-pièces vichy. Elle a encore la chair de poule malgré le soleil. — Tu as froid ?— Oui, mais ça me fait du bien : ça me permet d’éliminer les dernières vapeurs d’alcool.— Punition masochiste ?— J’ai trop picolé et fait un peu n’importe quoi, hier au soir… J’attrape une serviette et lui frotte le bas du dos, là où encore quelques gouttes d’eau brillent au soleil. Elle relève la tête, attrape ses lunettes et me fixe avec son étrange regard. Sans rien dire elle se rapproche, se colle contre moi, puis se tournant elle repose sa tête dans mon cou et pose son bras sur mon torse. Je sens la fraîcheur de son corps et ses cheveux humides. À mon tour je me tourne vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Elle attrape ma main qu’elle glisse entre ses jambes. Notre baiser devient torride tandis que ma main glisse sous le tissu mouillé de son slip. Après avoir écarté quelques légers poils, je caresse doucement ses lèvres intimes, ...
... son clitoris, puis j’introduis un doigt dans un puits humide et brûlant. Elle serre les jambes sur ma main, et tirant sur mon flanc elle m’oblige à me coller contre elle. Mon sexe tendu sous mon boxer se love contre son ventre. Ses lèvres lâchent ma bouche et elle recule un peu son visage. — On ne va pas baiser ici sur la plage ; j’ai l’impression que le couple à droite nous regarde.— Ils sont loin. On rentre ? À cette heure il n’y aura personne à la maison.— Vite ! * * * Arrivés à la maison, nous grimpons précipitamment les marches jusqu’au grenier, et ce malgré « l’escalier de la mort ». Arrivés dans la chambre, nos vêtements volent à travers la pièce. J’attrape Colombe, vêtue seulement de sa culotte, pour l’embrasser. Toujours collés l’un contre l’autre, elle m’attire vers le lit sur le lequel nous nous laissons tomber brusquement. Je découvre Oscar, couché sur les coussins, qui nous regarde avec son air stupide : j’avais oublié de fermer la porte. Je vire le chien avec un coup de pied au cul et me jette sur Colombe pour embrasser ses seins puis son ventre doux et accueillant. Je m’agenouille sur la moquette et tire son bassin sur le bord du matelas. S’abandonnant complètement, elle ouvre sans hésitation ses jambes. Mes lèvres courent sur l’intérieur de ses cuisses et sur son sexe à travers le mince tissu de sa petite culotte que je finis par écarter pour coller ma bouche sur son abricot déjà gonflé de désir. Ma langue cherche à s’introduire en elle, mais elle se tortille ...