En formation à Paris - Histoires de Sexe

En formation à Paris

... des films.— Moi, elle n’a dû venir voir mon écran que trois ou quatre fois dans la journée alors qu’elle était toujours accrochée à ton écran. Je suis prête à parier que j’ai raison. Il faudrait que tu rentres dans son jeu pour savoir qui a raison.— OK, si cela t’amuse, ça nous occupera… J’essayerai demain et on verra bien, mais cela n’ira pas loin, je te rappelle que je suis marié.— Rassure-toi, je te demande pas de la prendre sur le bureau, mais juste de répondre à ses avances pour que je gagne mon pari.— Waw… Que de vulgarité dans la bouche d’une jeune femme, et quel est l’enjeu du pari ?— Je ne sais pas, on verra demain, la nuit porte conseil. Nous rentrons ensuite à l’hôtel en métro. Nous nous quittons dans l’ascenseur ayant des chambres à des étages différents. Notre discussion a duré un peu et il est trop tard pour envoyer un petit message à ma chérie. Je décide de me coucher et m’endors très rapidement. Deuxième jour : Le lendemain, je retrouve ma collègue pour le petit-déj à l’hôtel. Visiblement, on a bien dormi tous les deux et l’idée de vérifier qui gagnera notre pari nous motive pour nous préparer et rejoindre la salle de formation située à quelques pas de l’hôtel. Le trajet nous permet de continuer la conversation: — Je pense avoir trouvé ton gage quand tu auras perdu le pari, me confie-t-elle.— Moi, je n’ai pas encore d’idée, mais j’y travaille, on verra cela ce soi. Maintenant, au boulot. Nous entrons dans la salle, la formatrice nous attend. Comme hier, nous ...

... sommes les seuls participants. Cette fois, je vais faire attention à tous les détails, et commencer par étudier sa tenue. Elle porte de nouveau un tailleur assez strict, mais la jupe me semble plus courte que la veille et je pense qu’il sera possible d’apercevoir le haut de ses bas lorsqu’elle sera assise. Profitant qu’elle a le dos tourné, ma collègue me fait un petit signe pour également me faire remarquer que la jupe est plutôt courte. Je lui souris et lui fais signe de se taire. La matinée passe rapidement et pas de signe distinctif de séduction de la part de la formatrice, sauf quand elle s’est approchée de moi pour corriger un détail sur mon écran, j’ai pu plonger mes yeux dans son décolleté fort attirant, mais je ne pense pas que c’était volontaire. À la pause, je chambre ma collègue, persuadé qu’elle va perdre son pari : — Non, pas du tout, rétorque-t-elle. Elle a sorti les valeurs sûres, jupe courte, bas et string.— String ? Tu es certaine ? Difficile à déterminer, mais rien ne vaut l’œil avisé d’une femme. Par contre, je peux t’assurer qu’elle a un très beau soutien-gorge en dentelle blanche.— Pffff, les hommes ! Toujours des yeux baladeurs. Chut, la voilà ! Essaye de faire un effort pour connaître le gagnant avant ce soir.— Promis. C’est une facette de ma collègue que je ne connaissais pas, joueuse et un peu coquine… ça promet. Profitant d’un temps de relâchement en début d’après-midi, j’engage une conversation un peu plus personnelle avec notre formatrice : sa vie ...