À la manière de....
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
pastiche,
... plus les chattes en chaleur, il est vieux des jours de misère, du cirque au château à Sigmaringen, quand ils croyaient tous pouvoir encore lui baiser le cul au Maréchal. Jacques part pour l’Afrique rejoindre Bardamu, il croit que les gonzesses y sont plus faciles et l’oubli plus profond. Je sens bien qu’il se dandine, les yeux dans la robe de chambre de Milena. Elle le voit, ouvre un peu les pans détendus, s’attife les cheveux, fait la belle, encore, mince ! Ils sont encore là, les nichons, pas dégueulasses, gras, tombants, mais bandants. Le Grattepoil bave dans son verre de vin de table, les bourrelets il aime ça, déjà les souris grises il se les faisait bien en chair, alors tu penses les loloches de la Milena, qui n’hésite plus à montrer son cul maintenant, excitée, déchaînée, revenue de chez les morts. Il n’en faut pas plus à Jacques pour bander comme un taureau, droit, dur, la main au panier poilu direct, la langue dans la bouche. Milena lui astique la tige, moi je regarde, j’ai perdu mes illusions en taule, plus de vigueur, bande plus, mais je les regarde s’agiter, les salauds. Allongée sur la table de la cuisine, les cuisses en éventail, la baveuse bien poilue, bien ouverte, elle se fait enfiler par Grattepoil, les pans de sa robe de chambre tombent de chaque côté, papillon grotesque d’une fin de nuit apocalyptique, il la lime, avec force, comme un fou, le désespoir du dernier coup avant la route ; Jacques lui suce les tétons, à grands coups de langue, ça chuinte comme un bouillon, elle flatte ses couilles pendantes, elle ferme les yeux, goûte, jouit, ânonne, soupire, en redemande, salope dans l’âme, elle se plantait sur tout les dards teutoniques, il ne lui reste que ces bites-là qui collaborent.