1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 26/10/2017, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... maquillé(e), la bite dressée, la jeune fille à genoux en train de lécher ce vit, c’en est trop. Elle vient de jouir comme une folle, connement, comme ça, avec sa main branlant sa chatte sans délicatesse. Elle essuie ses doigts poisseux sur son ventre, poissant par la même occasion sa toison. Plus sereine maintenant, elle va chercher un fauteuil, l’installe de biais par rapport à la fenêtre. Elle s’enfonce dans son siège, cuisses ouvertes appuyées contre les accoudoirs, pieds remontés contre ses fesses. Elle est parée pour assister confortablement à la suite des ébats. En face, la situation n’évolue guère. Égoïstement, Noël se roule les tétons pendant que Claude, toujours agenouillée, a entièrement englouti le membre de "son" copine. Ses mains pelotent sans vergogne mais avec délicatesse ce petit cul. La qualité de ses lunettes permet à Marah de distinguer les marques rouges laissées par les doigts sur la peau laiteuse. Soudain, Noël se laisse glisser lui aussi sur ses genoux mais comme dans le même mouvement, il empêche Claude de lâcher sa bite. Cette dernière, apparemment coutumière de cette manœuvre se retrouve à quatre pattes la bouche toujours bien accrochée. Cette nouvelle position permet à Noël d’accéder à certaines parties érogènes. Démontrant une souplesse certaine, ses lèvres déposent des gerbes de courts baisers sur le dos aimé. Ses mains caressantes explorent successivement le dos, les fesses, l’entre fesses avant de venir se fixer sur les mamelons. La voyeuse ...
    ... très excitée par cette nouvelle figure se fait un gros plan sur la poitrine de la jeune blonde. D’un volume limité mais très bien proportionné, le modelé de celle-ci ne laisse aucun doute sur le sexe de sa propriétaire. Quasi mécaniquement, elle reproduit sur ses tétons, les attouchements que subit la frêle poitrine dans son objectif. L’excitation revient, une douce chaleur humide envahit ses entrailles. N’étant dotée que de deux mains, elle ne peut dans un même temps continuer ses palpations mammaires, satisfaire ce besoin intense de contact charnel qu’attend sa caverne vaginale et jouer efficacement les voyeuses. Ne voulant pas abandonner même pour une seconde ses jumelles, elle doit se résoudre à une solution de secours. La main droite préposée aux lunettes, la gauche stationnée sur ses seins, elle croise et décroise ses cuisses générant une lancinante et réciproque caresse de ses grandes lèvres. Pour augmenter les sensations ainsi obtenues, elle contracte ses fesses tout en les frottant contre le velours recouvrant le fauteuil. Cette nouveauté dans ses pratiques multiplie son excitation ; elle sent son liquide d’amour couler le long de ses lèvres, humidifier le velours. Ses contractions d’abord volontairement provoquées deviennent rapidement incontrôlables. De ses nichons aussi durs que de la pierre se diffuse une délicieuse souffrance. De l’autre côté de la rue, elles persévèrent dans leurs caresses amoureuses pas réellement pressées de conclure. Qu’est-ce qu’ils attendent ...