Ma tante de 45 ans est sublime (1)
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... objectivité qu’à 45 ans, mesurer 1m70 pour 54kg, ça vous donne un aperçu du corps qu’elle avait. En pantalon, sa silhouette était fabuleuse, elle avait des hanches parfaites, un derrière affolant. En jupe, je me pâmais devant la finesse de ses jambes aux pieds soignés. Un régal ma tante ... Pas de cellulite pour son âge ou si peu qu’il eut fallu mettre son nez dessus (!). Et puis, faut-il l’avouer ? ... j’aimais beaucoup son style vestimentaire, légèrement sportif mais classique également. Elle était pour moi la définition quasi parfaite de "la femme", celle que l’on a envie de prendre, de se savoir aimer d’elle. J’en avais oublié qu’elle était la soeur de ma mère, même si force est de constater que cette situation inédite, voire interdite, attisait mon excitation. Je bravais en quelque somme, un interdit de notre société : l’envie folle de baiser la soeur de ma propre mère. Le terme que je vais employer ne me plaît guère, mais reflète exactement ma pensée : ma tante Chantal était "bonne" comme on dit de manière vulgaire. Bonne le matin au réveil pour venir lui peloter ses seins si fermes en forme de poire. Bonne à lécher son sexe sorti de l’encyclopédie universelle pour en être l’illustration parfaite. Bonne à prendre à n’importe quelle heure ... J’avais eu le béguin pour elle, lorsqu’elle était venue seule nous voir à Paris. Ma tante rendit visite à ma mère pour quelques jours. Elle en profita en ce jour du mois de juillet pour prendre un bain de soleil dans le vaste ...
... jardin familial. Nous étions seul, mes parents étant partis faire des courses pour le dîner du soir et mon petit frère s’amusant chez le copain du voisin. Quel ne fut le regard tout admiratif que je posai sur ma tante, lorsqu’elle descendit en bikini bleu pâle. Pour la première fois, je vis ma tante presque nue. J’admirai sa démarche, son déhanchement subtile de sensualité. Moi du haut de mes 14 ans, j’avais devant moi cette femme de 41 ans, dont le corps me fit déjà à cette époque l’effet d’un boomerang, comme une sorte de K.O. au premier ring ! J’ose ajouter qu’il me fut heureux pour moi d’être en pantalon sur le moment. Elle s’allongea sur le transat et m’interpella pour lui mettre de la crème à bronzer. L’impression m’était donnée d’être comme dans un film. Je lui étalai cette crème sur son dos, puis sur ses jambes avec une extrême rigueur. Ce fut un mélange de sentiments enfouis d’un plaisir fou et d’un plaisir interdit. Le plaisir m’était donné de caresser pour la première fois de ma vie une femme, qui plus est, ma tante adorée. C’est à cette occasion que je pus observer le fessier superbe de ma tante avec un dos "qui n’en finit pas" comme certains auraient dit. Au bout d’un 1/2 heure, ma tante se retourna et était-ce pas fainéantise de sa part (?), elle me demanda de lui badigeonner le bas des jambes. Je commençai ma tâche, appelons cela comme ça, quand j’arrivai à ses mollets. Je me rappelle très bien des mots que ma tante prononça. " Jean, peux tu en mettre sur mes pieds, ...