1. Maison d'hôte à la montagne (9)


    Datte: 27/01/2021, Catégories: Hétéro

    Olivier reste dans la jeep, tandis qu’avec Antonin et Benoit, nous rejoignons nos chambres respectives. Ce soir, je dors donc toute seule. Le lendemain matin, mon époux rentre comme une furie dans la chambre au point de réveiller tout le monde. Il me crie dessus, me disant que je ne suis qu’une traînée, que je n’aurais jamais dû rester seule avec les deux frères dans la discothèque. Je lui réponds le plus simplement possible qu’hier soir, c’était une soirée détente et non une soirée pour tomber ivre à cause de l’alcool. Celui-ci me répond qu’il n’aurait pas besoin de ça si sa femme était sérieuse et fidèle. Je tente de le rassurer en lui disant que je n’ai fait aucun écart depuis que nous sommes ici, mais rien ne change. Les membres de la famille interviennent afin de calmer cette dispute, mais Olivier ne l’entend pas de cette oreille. Il commence à faire les valises, y met ses et, mes affaires dedans. Puis m’ordonne de quitter la maison définitivement. La mère de famille lui indique qu’il ne pourra pas être remboursé concernant les trois derniers jours qui restent. Je finis par accepter sa décision, avec une grosse pointe d’amertume au fond de moi, mais aussi avec une grande fierté. J’ai découvert des plaisirs que je ne connaissais pas avant de venir ici, et sincèrement, je n’ai aucun remords. Je donne une accolade à chaque membre de la famille, même Monique semble réceptive à ce geste. Puis nous reprenons la route en direction de la région bordelaise. Sur la route, je ...
    ... repense à tous les moments délicieux que j’ai vécus, la découverte du sexe énorme de Benoit, le côté malicieux d’Antonin, et le côté pervers de Pierre. Le bas de mon ventre en a des frissons de désir. Lorsque nous nous arrêtons avec Olivier dans une aire d’autoroute afin de nous restaurer, je ne peux m’empêcher de regarder les hommes qui passent autour de notre table. J’essaye de devenir la taille de leur membre, ou la douceur de leurs lèvres. Je suis réellement devenue une femme libérée, me dis-je dans mon esprit. Olivier ne calcule pas réellement mes gestes. Il est plus préoccupé par son steak et ses frites. Quand tout à coup, un beau brun ténébreux entre dans la boutique de la station-service. Il est vraiment très charmant, avec du gel dans les cheveux qui sont dressés en pics, et un regard brillant. Il me regarde quelques secondes, j’en ai le cœur qui bat, et une nouvelle fois mon esprit me torture. Il va au comptoir, prend une barre chocolatée, puis un café. Il s’assoit sur une table haute qui se situe à proximité de la mienne puis continue de jouer avec son regard. Je ne peux m’empêcher de lui faire un clin d’œil puis je pars en direction des toilettes. J’indique à mon époux que j’ai un besoin pressant, celui-ci m’écoute à peine. Je traverse la boutique, puis entre dans les sanitaires. Il n’y a pas trop de monde, je dirais même personne, au moment de me sécher les mains, je tourne le dos à la porte puis je sens des mains se poser sur mes hanches. Dans un premier temps, je ...
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