Catching
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
médical,
uniforme,
Partouze / Groupe
hsodo,
pastiche,
policier,
fantastiqu,
humour,
fantastiq,
... qu’elle travaillait ici ? Dans quel service ?— Mais j’en sais rien, dans quel service ! On s’en fout ! Tout ce que je sais, c’est qu’elle a chopé votre saloperie hier et qu’à l’heure qu’il est, elle est probablement…— Emmanuelle Rodrigues ? L’infirmière ? s’enflamma le boss Landry. Celle avec les… euh… celle qui… enfin… euh…— Oui, avec les gros seins, c’est ça… confirma Charlène, amusée.— Mais à moins qu’elle n’ait été réellement abattue, expliqua l’autre toubib, je ne pense pas qu’elle soit morte. Nous n’avons jusqu’à présent constaté aucune issue fatale. Violence paroxystique et surexcitation sexuelle permanente semblent être les deux principaux symptômes. Ainsi qu’une dermatite assez nette.— Ces plaques grises sur leurs peaux ?— Oui.— Mais… comment le virus est-il passé aux premières victimes ? Emmanuelle n’avait pas été mordue, j’en suis presque sûr !— Nous n’en savons rien, hélas. Nous ne sommes que certains de la contamination directe par morsure. Les premières victimes ont peut-être été en contact avec la souris, ou avec le premier scientifique, lui-même mordu par la souris. Nous ne savons pas où il est passé, cela fait trois jours qu’il a disparu.— Vous avez… vous avez eu des relations sexuelles avec Mademoiselle Rodrigues ? s’inquiéta Landry.— Oui, et pas qu’un peu ! répondis-je fièrement avec un grand sourire.— Cela infirmerait la transmission par tout contact physique, sexuel, ou oral, commenta-t-il comme pour lui-même.— À moins que l’incubation ne ...
... soit plus longue dans ce cas, corrigea la miss Harper. Je cessai tout soudain de sourire. — Vous voulez dire que je suis peut-être infecté ? Mais ils continuèrent comme si j’étais plus là. — Oui, ou à moins encore qu’il soit immunisé. Ce qui serait très bon pour nous.— Il présente toutefois déjà un symptôme assez net d’agressivité.— Grrrr ! D’ailleurs je sens que ce symptôme ne va pas tarder à atteindre sa pleine mesure… beuglai-je en soulevant ma hache.— Et vous ne savez évidemment pas comment ça se soigne ? tempéra Charlène.— Non. Mais plusieurs équipes y travaillent. Nous avons mis tous les laboratoires à disposition de nos chercheurs et de ceux d’autres unités de recherche.— Super ! Et donc ? On fait quoi ? On attend simplement de crever en baisant jusqu’à épuisement ? Personne ne répondit. Pour la énième fois de la nuit, Charlène essaya d’utiliser son portable, encore sans succès. Elle soupira. — Vos téléphones fixes fonctionnent ?— Seulement les lignes internes. Tout à l’heure, les communications vers l’extérieur ne passaient pas.— Oui, saturation aussi, probablement. Et le net ?— Plus rien. Il y eut un silence. — Bon, alors ? Qu’est-ce qu’on fait ?— Nous devrions nous rendre dans les laboratoires. Vos informations pourraient intéresser nos chercheurs. Mes informations ? Qu’est-ce que j’avais, comme informations ? Ils voulaient sans doute plutôt vérifier leur hypothèse de contamination sexuelle… Mais de toute façon, qu’y avait-il d’autre à faire ? À suivre…