Ma drole de famille (5)
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Michel arrive avec les cafés et les pose sur la table basse. –Toujours un sucre tata ? –Oui. Il sucre mon café, le tourne et me tend la tasse. –Attention, bouillant. –Merci Michel. Sans bouger, je bois mon café, Michel est aimanté par mon entre-jambe, il ne peut détacher son regard de mon slip souillé par ma cyprine. En reposant ma tasse sur la table basse, je bouge à peine une jambe pour ouvrir encore plus le compas de mes jambes. Michel reste là à me regarder, mais il se lève et se dirige vers la maison. –Je n’ai pas très bien dormi cette nuit, je vais me reposer une heure, je dois retourner m’occuper du tracteur tout à l’heure. Ne comptez pas sur moi cet après-midi. Il disparait et je me retrouve comme une conne, allongée sur le divan, la jupe retroussée sur mon slip. Aline vient vers moi. –Raté !! Je suis abasourdi, je me suis comporté comme une salope devant mes nièces à allumer mon neveu. Je veux me redresser mais Aline pose sa main sur mon épaule m’empêchant de me relever. –Michel t’intéresse aussi ? –Pourquoi aussi ? –Parce que j’aimerais bien qu’il s’occupe de ma virginité, me faire dépuceler par mon propre frère, j’en rêve, surtout quand on sait comment il est monté. Toi aussi tu aimerais bien le sentir en toi. –Oui, mais il n’a pas l’air de comprendre ce que je veux. –Ne t’en fais pas Laure, Michel est très timide, mais tu verras, il finira par comprendre. –On va s’occuper de toi, tu ne perds rien au change. –C’est vous qui le dites. –Bien sûr tu n’auras pas ...
... son gigantesque sexe dans le tien, mais nous allons te faire jouir comme une folle. –De quel gigantesque sexe parles-tu ? –De celui de Michel bien sûr. –Vous l’avez vu ? –Bien sûr, nous sommes assez libres pour ne pas nous offusquer quand « par mégarde » nous entrons dans une salle de bain occupée, ici personne ne ferme la porte. Nous avons donc vu Michel nu sous la douche ou se rasant. De plus tu verras qu’en maillot de bain, il remplit bien son slip. Je peux te dire que nous avons vu aussi papa et maman dans le plus simple appareil, et c’est réciproque. Décidément, cette famille m’étonnera toujours. –Vous êtes sûres que Michel ne peut pas nous voir ? –Non, de sa chambre il ne peut voir que l’autre côté de la piscine. A toi de rester silencieuse. Je me laisse donc faire. Aline me retire ma culotte tandis que Paule me remonte mon tee-shirt jusqu’aux épaules. Je sens deux bouches sur mon corps, l’une d’elle sur mes seins, l’autre sur mon sexe. –C’est quand même nettement plus agréable de ne pas se mettre un poil dans le nez. Je souris, mais mon corps est à cent lieues de plaisanter, il sent une onde de plaisir naitre au fond de son ventre, s’irradier sur mon clitoris, aller jusqu’à la plante des pieds et remonter vers mes seins et mon cerveau. Mon corps se crispe, il se tend, s’arque boute pour finir dans un immense feu d’artifice. J’ai du mal à respirer, ma bouche ouverte appelle l’air qui ne vient que lentement. Mon cerveau est en ébullition, je tourne la tête à droite et à ...