1. J'aime m'amuser


    Datte: 27/01/2021, Catégories: fh, couple, inconnu, hotel, facial, Oral fsodo,

    Je pénétrai dans l’ascenseur derrière une fille blonde, bien en chair et assez petite, le mètre soixante tout au plus. Elle avait les cheveux sur les épaules, blonds très clairs. Des yeux marron foncé surplombés de grands cils noirs recourbés. Elle portait un jean serré bleu clair qui moulait ses cuisses assez rondelettes, le jean s’évasait sur des bottines noires. Elle avait un débardeur blanc sans manches, le tissu s’arrêtant à la hauteur des épaules, ses bras potelés comme ses cuisses étaient tout simplement attirants. Je m’imaginais déjà mordillant la chair dorée brûlée par le soleil de l’été, légèrement luisante de sueur. L’ascenseur s’éleva lentement ; la blondinette restait appuyée à la glace qui était au fond de la cabine. Elle regardait le sol, tenant son petit sac serré contre ses cuisses. Soudain elle me jeta un regard furtif. Je sentais déjà le désir me tendre au fond de mon short noir en tissu fin. La bosse que risquait de former mon sexe dans les secondes suivantes se verrait si jamais je n’arrivais pas à me raisonner. La blondinette quitta la cabine devant moi au 38ème étage de l’hôtel. Je la suivis dans le couloir pour gagner ma chambre au numéro 3823, la blondinette stoppa au 3816 quelques portes avant la mienne. Alors qu’elle allait refermer la porte elle appela : « Hé ? » J’ignorai d’abord le petit son qu’elle émit, évidemment pas à mon intention. Pourtant elle recommença : « Hé » Je me retournai, elle me fit signe avec son index de m’approcher. Elle ...
    ... murmura lorsque je fus près d’elle : « J’ai vu que vous me regardiez dans l’ascenseur, je suis seule pour une heure si vous voulez entrer ? » Je ne me fis pas prier et pénétrai à sa suite dans la chambre qui dominait la ville. La fenêtre était ouverte, il faisait une chaleur étouffante dans la pièce. Elle posa son sac et reprit : « Je suis ouverte à tout, tous vos plans même les plus foireux, mais je n’ai qu’une heure alors autant commencer tout de suite, je m’appelle Karine Yellow. » M’approchant d’elle, remarquant son visage luisant de sueur je me présentai : « Marcus Syraky ». Sans me laisser le temps de continuer elle agrippa ma chemise bleue qui pendait par-dessus mon short et m’attira à elle ; elle fut assez près de mon visage pour que je sente l’odeur de sa bouche, une odeur de pomme, une odeur très intime, pas franchement fraîche, mais assez douce pour que naisse une pointe d’excitation en moi. Elle murmura : « Je sais que t’as envie de me tirer mais j’aimerais m’amuser un peu avant » Elle accrocha ses doigts dans la boucle de sa minuscule ceinture et arracha la lanière de cuir, son jean chuta de quelques millimètres. Elle glissa ses mains derrière la ligne de boutons et les pressions dorées cédèrent dans un chuintement. Elle portait une culotte blanche avec une bordure en dentelle. Un petit animal rouge était brodé le côté droit. Elle agrippa ma main et la glissa entre son ventre et le tissu. Elle était tiède, douce et légèrement humide. Elle posa ses mains de chaque côté ...
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