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Premiers pas (1)
Datte: 28/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... sépare. Je sentais monter en moi l’orgasme alors que personne ne m’avait encore effleuré, lorsque ce fut notre tour de titiller ces femmes nue sur le canapé, nous debout le mat lever, nous argumentions du regard pour savoir lequel allait embrasser le coup de nos femmes. Pour être honnête nous perdions le jeu face aux filles, l’impression qu’elles nous connaissaient mieux que nous-mêmes quand nous enchaînions les erreurs de jugement elles ne se trompaient jamais. Ma femme avait visiblement terriblement envie de gagner car elle usait de techniques toute plus intelligentes les unes que les autres pour nous duper. Je découvrais avec plaisir le parfum naturel de cette femme que j’osais à peine embrasser, mes lèvres hésitantes cherchaient les recoins cachés de son coup sur lequel je déposais délicatement des baisers tendres comme pour la remercié de participer à cette soirée. Mon frère y mettait du cœur, ma compagne s’abandonnant à sa douceur délaissée par la peur de l’inconnue. C’était la première fois qu’un homme touchais ma femme avec mon accord et je crois que de les regarder devenait un nouveau fantasme. À vue d’œil que les verres se vidaient, ma femme et moi même étions partis dans une de ces conversation du regard que notre complicité à forger avec le temps. Elle me disait " tu aimes ? " Je répondais que c’est elle que "j’aimais plus que tout " Elle me demandait si j’étais "prêt pour la suite " Et je lui répondais que "je la suivrais jusqu’à bout du monde. " C’est dans ce ...
... genre de moments où le couple se soude pour la vie, dans cette adrénaline commune, cette perte de repères, ce stresse jumelé au désir de connaître la suite de l’histoire. Je compris dès lors qu’une sexualité épanouie est aussi celle où l’on repousse ses limites à deux. Le vrai ciment, c’est de toujours penser au plaisir du partenaire, et de chercher en permanence l’épanouissement de l’autre. Au retour de ce dialogue secret, le défi suivant était sur la table, il s’agissait de pratiquer une danse sensuelle et langoureuse. Après avoir choisi la musique et créé notre arène éphémère, nous nous lancions dans un slow aux notes tropicales à quatre. Les filles encerclées par nos bras fort, dos à nous s’embrassaient et se déhanchaient au rythme de la musique. Juste une lumière tamisée pour faire onduler sur les murs parcimonieusement illuminés, les ombres mouvantes de notre communion charnelle. Puis les rôles s’inversaient je me retrouvais au milieu des filles puis dos à dos avec mon meilleur ami enlaçant et caressant nos femmes respectives. La musique s’arrêta mais ce moment trop agréable ne pouvait pas se terminer ainsi. Sans nous concerter nous attendions en silence et en dansant le prochain slow afin de prolonger cette sensualité divine. Puis la musique revint, nous reprîmes nos places du début nos femmes bras dans les bras et nous qui fermions ce quatuor bien huilé. Je sentais le corps de ma femme se tordre sous mes doigts, ce n’était pas la musique mais sa dulcinée qui lui agaçait ...