1. Tableau Tableau VII


    Datte: 26/10/2017, Catégories: Anal Sexe Interracial, Inceste / Tabou

    Tableau VIIJ'ai parmi mes amis un anthropologue, disciple de Jacobus Sutor, spécialisé dans les dernières tribus d'Afrique noire.Lorsque je lui rends visite nous avons instaurés comme rituel, une étrange séance de psychanalyse, ou celui qui est allongé, moi, sur le sofa colonial se masturbe tandis que celui qui parle, mon ami, relate diverses coutumes exotiques, fruits de recherches scientifiques.Aujourd'hui, alors que je me défroque sur le cannage rêche et sous le regard sorcier des masques exposés aux murs, il m'annonce qu'il va m'exposer l'histoire d'une tribu méconnue, les Kimbandas, dont il a eut le privilège d'observer le fonctionnement dans sa jeunesse.Cette tribu a pour particularité, me dit-il, de n'être strictement composé que d'hommes. Aucune femme n'est admise dans leur rang et le problème de la reproduction est réglé par un rapt régulier de jeunes adolescents dans les tribus voisines.Aucun de ces hommes ne fou jamais en con une femelle, et pour cause l'idée même les répugneraient autant que de culbuter la charogne d'une hyène.Ces hommes n'ont évidement pas fait vœu de chasteté et c'est dans une pratique sociale et ritualisé de la sodomie que leur sexualité s'épanouit.La notion de couple n'existe pas et l'acte sexuel se perpétue quotidiennement en communauté avant l'instant du repas.La hiérarchie s'instaure naturellement par l'âge, le plus âgé sodomisant le plus jeune. Ainsi fait le doyen de la tribu, étant condamné à n'être plus jamais sodomisé, reçoit en ...
    ... contrepartie le statut de grand sorcier.Les plus jeunes sont enculés par toute la tribu et doivent attendre l'arrivée de nouveaux adolescents plus jeunes pour à leur tour pouvoir faire usage de leur verge.A cette occasion, à lieu un rituel de passage dans l'âge adulte nécessitant divers actes de modifications corporelles. Leur verge à l'aide d'un silex est alors finement scarifiée de motifs tribaux, de longues lignes ondulantes courent ainsi du pubis jusqu'à la base du gland. Ce dernier est de même cruellement entaillé de symboles magiques.Le rituel, détail non négligeable, exige que la verge reste en érection tout du long de la douloureuse cérémonie. Dans le cas contraire, l'adolescent à la verge flasque, jugé indigne et impropre à foutre, est castré sur le champ. Le vieux chef cautérise alors la plaie d'un charbon ardent, puis mange l'organe.Le pauvre mutilé est alors rejeté dans sa tribu d'origine, ou sans statut, interdit de chasse car privé de verge, il reste oisif, tel un kitesha castré, avec les femmes ou bien souvent il se retrouve spectateur impuissant de leur jeux érotiques.Échaudé par ce récit, une fièvre commençait à faire perler la sueur à mon front. Voyant mon bras s'activer convulsivement, mon ami érudit, à la vu de ces signes annonçant l'apothéose, me dit de me modéré et repris son récit sur le ton nouveau de la confidence.Sa voix alors, muée en un timbre feutré, me relata les expériences, dépassant le cadre distant de l'observation scientifique, qu'il avait eut avec ...
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