1. L'initiation de Pierre se poursuit


    Datte: 28/01/2021, Catégories: hhh, Collègues / Travail hépilé, volupté, hsodo,

    Pierre est maintenant initié. Il est 20 heures, le téléphone sonne, je décroche. — Allo Pierre…— Oui ? Je viens de reconnaître la voix d’Alain.— Je suis de service ce soir, tu peux passer ? Surpris et intimidé, je laisse un blanc dans la conversation… — Je voulais dire, tu passes ce soir à 9 heures au supermarché et n’oublie pas : aussi imberbe que le jour de ta naissance, je t’attends dans une heure et sois à l’heure. Et il raccroche. Il me faut quelques minutes pour me ressaisir. Je revois en image les moments passés avec lui samedi dernier. J’ai honte de ce qui s’est passé, mais une force intérieure me rappelle le plaisir que j’en ai tiré, oui j’ai envie de son corps, j’ai envie de son sexe, je dois le rejoindre. Je me précipite vers la salle de bain, retire mes vêtements, passe sous la douche. Ma main se saisit du rasoir et de la mousse à raser et sans hésitation, je m’applique à retirer les poils que j’ai sur le corps. Tout y passe, j’use trois lames la dernière s’insinuant entre mes fesses. Je suis aussi glabre qu’un poupon. J’enfile un jean et un marcel, il fait doux ce soir. Un dernier coup d’œil dans la glace, le marcel moule mes pectoraux, je ne peux m’empêcher de passer la main sur les pointes qui saillent. Je suis déjà excité. Alain est devant la porte, vêtu d’une combinaison noire et chaussé de Rangers. Il est garde de sécurité dans ce supermarché. Je suis à peine descendu qu’il m’attrape le visage et m’embrasse fougueusement. — À l’heure, c’est bien, je vais ...
    ... t’offrir la nuit de ta vie. Il a toujours cet air dominateur. Il m’enlace et m’entraîne à l’intérieur. Nous arrivons dans une petite pièce que je devine être le poste de contrôle de la sécurité. Nous ne sommes pas seuls. Un grand gaillard, en combinaison lui aussi, se tourne à notre arrivée. — Abdou, je te présente Pierre. Je m’approche de lui pour lui serrer la main, il s’en saisit et avant que je n’ai le temps de réagir, il m’attire à lui, se saisit de ma tête et plaque sa bouche sur la mienne. Je ne m’attendais pas à ça et je le repousse. — Excuse-le Pierre, il est un peu brusque, mais faut le comprendre sa femme est en Afrique depuis deux mois.— Tu ne m’a pas dis qu’on ne serait pas seuls ! Alain se place derrière moi, place ses mains sur mes seins et appuie sa bosse contre mes fesses, je retrouve les frissons de samedi. Il me chuchote à l’oreille : — Tu n’as que deux solutions Pierre, ou tu pars, ou tu restes et dans ce dernier cas je te partage avec Abdou… Ses mains continuent de me caresser. — Si tu restes, il faudra que tu présentes tes excuses à Abdou. J’étais pris au piège, ses caresses avaient réveillé mon corps. Je tourne la tête vers son oreille : — Je reste…— C’est bien, présente tes excuses à Abdou pendant que je nous sers une bière. Abdou s’était assis dans un vieux fauteuil. Il avait allongé ses jambes mettant en évidence le paquet qui gonflait son pantalon. — Excuse-moi Abdou.— Mieux que ça Pierre, me dit Alain, montre lui que tu as envie de son corps. Abdou a ...
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