Christine Panama
Datte: 29/01/2021,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
Oral
fsodo,
québec,
... vols en avion, rencontres rapides, décalages horaires, signatures de délégation. Je ne suis plus retourné au Costa Rica ; j’avais abandonné Sileny à ses bijoux. Toutefois, dès que l’occasion se présentait, dès que je n’avais pas de travail à réaliser à Montréal, je prenais contact avec ma petite amie du primaire, Christine, devenue femme, femme qui aimait donner fellation et se la faire mettre dans le cul. C’est comme ça que je voyais notre relation. Et j’aimais ça. Et elle aussi, sans doute. Chaque fois que j’étais à Montréal, j’allais chez Christine, ou elle venait chez moi. Durant ces huit ou neuf mois de relation sexuelle, entrecoupés par mes voyages et mes absences, nous avons dû faire l’amour une soixantaine de fois. J’ai dû la pénétrer vaginalement peut-être trois ou quatre fois seulement. La sodomie était la pratique commune. Quand nous étions ensemble, nous ne faisions que baiser. Je lui ai dit à l’occasion : — Nous pourrions aller au restaurant, ou aller voir un film au ciné, qu’en dis-tu ? mais sa réponse était invariablement :— Ce n’est pas ce que je recherche avec toi. Tu voyages, tu pars, tu reviens, on baise, c’est bon, c’est correct, non ? Oui. Oui, ça m’allait très bien. Je songeais même à m’installer pour de bon à Montréal. Déléguer mes pouvoirs dans les autres villes où je travaillais, gérer à distance, m’établir, baiser Christine plus régulièrement. Parce que, il faut le dire, même si j’étais à Turin avec Alessandra – claquant ses fesses alors que je la ...
... prenais en levrette, elle aimait ça – ou bien à Tokyo avec la petite Esumi – baisant debout le plus souvent – ou bien encore à Londres avec une fille de passage, tout me faisait revenir à Montréal, entre les fesses ou les lèvres de Christine. J’y rêvais la nuit, des fois, le jour, souvent : je bandais tout seul dans le métro ou dans une salle d’attente alors que mon esprit divaguait. Je ressassais nos soirées et nos nuits ensemble : soit Christine contrôlait tout le mouvement – ses pieds à plat sur le lit, au niveau de mes hanches, se dilatant l’anus elle-même, se maintenant de ses mains sur mon torse – ou bien au contraire, elle s’offrait entièrement – le cul relevé, la tête dans l’oreiller. On changeait les positions, nous étions acrobatiques, avons utilisé toutes les pièces de nos deux appartements, tous les fauteuils et divans pour s’assouvir. Bizarrement, quand je la pistonnais fortement, qu’elle se laissait aller à des pulsions animales en criant incroyablement bien, et que je vivais et aimais cet aspect psychologique total de domination – de mes mains sur ses hanches ou dans ses cheveux, de mes doigts comme des serres sur ses fesses, ma queue dans son cul, ses cheveux volant au rythme de ses coups de tête et de ses soubresauts du corps, je souriais intérieurement en songeant à son métier : — J’encule le fisc ! Ouais ! J’avais des érections rien que d’y penser. Ainsi, quand j’étais à l’étranger, nous nous envoyions des sextos : de petites phrases emplies de désirs du ...